1. Le lac


    Datte: 22/11/2021, Catégories: fh, fplusag, bateau, Oral pénétratio, poésie, lettre, mélo, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... chaude et sensuelle présence de votre corps contre le mien.
    
    J’éloignai alors la barque pour l’abriter dans une crique sauvage, et nous nous aimâmes !
    
    Vous en souvenez-vous mon amour ? Laissez-moi vous conter comment je l’ai ressenti.
    
    ***
    
    Vous vous glissez devant moi, sur la barque, vous m’enlacez et cherchez à nouveau mes lèvres pour un baiser langoureux. Pendant que nos langues s’apprivoisent, vous descendez votre main le long de mon ventre et vous vous emparez de ma virilité, à travers mes frusques, vous mettant à me caresser, tout en continuant de m’embrasser.
    
    Je l’avoue, je me mets immédiatement à bander très fort entre vos doigts.
    
    C’est ce que vous attendez pour abandonner mes lèvres et vous mettre à genoux devant moi. Défaisant ma ceinture et repoussant ma culotte vers le bas, vous prenez d’abord tout votre temps pour contempler mon sexe en érection. Nul doute que, vu son âge, votre mari ne peut plus présenter d’érections aussi flamboyantes.
    
    Vous vous amusez ensuite à poser de légers baisers sur mon membre qui tressaute à chaque attouchement. Puis, après vous être accrochée à mes fesses à pleines mains pour mieux vous stabiliser, vous me faites lentement glisser entre vos lèvres, laissant échapper un divin soupir de contentement. Je m’abandonne avec délice à votre langue agile, Julie, alors que vous prenez un malin plaisir à parcourir les points les plus sensibles de mon glaive durci, alternant succions et lapements avec une grande ...
    ... habileté.
    
    Rapidement, les premières ondes de plaisir échauffent mon ventre, et quelques gouttes de liqueur suintent de mon gland. Vous vous en délectez, vous amusant à en extirper encore plus de mon champignon violacé, par de délicates pressions de votre langue. Je me sens approcher du paradis, c’est pourquoi je vous demande alors de cesser un instant vos caresses ensorcelantes.
    
    Vous relevant alors vivement, vous m’expulsez de l’antre chaud où vous m’aviez glissé, me laissant brutalement à l’air libre, gonflé et luisant de désir. Après un dernier regard sur l’objet de votre convoitise et une légère caresse sur mes bourses devenues cramoisies, vous vous retournez, relevez vos jupons (petite friponne, vous n’avez pas mis de culotte aujourd’hui), et, appuyant vos mains sur les bords de la barque, vous me tendez vos fesses en vous cambrant, jambes écartées, pour ne laisser aucun doute sur ce que vous attendez de moi.
    
    Toutefois, juste avant d’entreprendre le siège de votre séant, un reste de galanterie me pousse à m’agenouiller un instant devant votre croupe somptueuse, et de commencer mes dévotions en soufflant légèrement sur votre vulve frissonnante, Julie, et sur les poils dorés qui la protègent.
    
    Vous cambrez alors encore plus vos reins, comme pour mieux profiter de cette exquise sensation. Je saisis l’occasion pour effleurer vos nymphes du bout de la langue, avant de retourner souffler le froid et le chaud sur vos délicates muqueuses. Reculant un peu, vous amenâtes votre bassin ...