Pauline Connaît Un Été Torride - Histoires de Sexe

Pauline Connaît Un Été Torride

... d'aller commander ses troupes dans l'hôtel avec fermeté et rigueur.

C'est un moment de soumission oui mais aussi je crois de liberté, car il oublie tout, en jouant un rôle, celui de l'esclave dévoué à sa reine et à ses caprices. Et il rayonne quand je le quitte, les couilles bien vides.

De mon côté, j'y trouve évidemment mon compte. Ce rapport de soumission est délicieux, j'aime tenir la queue de Pierre dès qu'il baisse son pantalon, j'aime la serrer fort quand il est au garde-à-vous, j'adore l'avoir dans la main après l'avoir surpris en plein travail, la caresser de la paume ou entre mes doigts, tout en lui donnant des ordres. J'exige parfois des augmentations de salaires pour untel ou unetelle, d'autres fois je l'invite à repenser l'aménagement d'une chambre ou d'une suite, et souvent je lui impose l'achat de nouveaux meubles que j'aime pour décorer les patios, une salle de restauration ou une suite. Je lui ai également demandé de transformer un salon privé en y installant sur ses quatre côtés de grands miroirs ; je m'imagine nue, en mille images, baisée par une jolie queue répliquée mille fois.

Bref, cela m'excite de décider un peu de la vie à l'hôtel à travers ma relation spéciale avec Pierre. Une fois qu'il a dit oui, mon plaisir est de le branler avec vigueur et de le voir gicler.

Il est soumis à ma poigne de fer, il est ma chose, frénétiquement prisonnier de ce plaisir que je lui donne et de ce fantasme qui est le sien de m'appartenir.

Sa queue est même ...

... parfois sortie du pantalon, bien raide, quand je sonne à la porte, car il m'attend souvent et connait mon heure. Il est comme drogué et dépendant. Il lui faut sa dose. Il est en manque d'une autorité qui commande sa bite, ses couilles et son sperme.

Quant à moi, je crie victoire quand son sexe durcit tel une barre de pierre entre mes doigts, ce qui me fait mouiller comme une petite chienne en chaleur. L'éjaculation qui vient, abondante et bondissante, me met en joie et m'arrache souvent un orgasme insensé.

Aujourd'hui, il est à peine 10 heures du matin, 30 degrés déjà, après avoir préparé mes rendez-vous, je sonne à son bureau. Je ligote ses pieds au fauteuil et lie les mains dans son dos. Il a beau protester que son épouse va passer dans une heure, je veux le maintenir ainsi à ma disposition, maîtresse des horloges.

Lentement je me suis déshabillée, ne gardant que ma perruque rousse et mon loup vénitien. Je grimpe sur son bureau et m'agenouille, lui offrant la vue de ma croupe bien ronde. Très lentement, le plus lentement possible, je me cambre et m'allonge, toujours sur les genoux. Mes deux orifices appétissants sont en pleine lumière. Bien que lié par les mains et les pieds, son fauteuil est collé au bureau de telle sorte que je peux approcher mes lèvres trempées au plus près. "Regarde mon sexe et tais toi!"

Finalement, j'aime la soumission de Pierre parce que je peux m'exhiber, ouvrir grand mon sexe et le laisser regarder. Et mon plaisir serait aussi intense ...