Pauline Connaît Un Été Torride - Histoires de Sexe

Pauline Connaît Un Été Torride

... bonne queue juteuse, mais le plaisir est aussi de me sentir vulnérable, prête à être saillie, au bord d'une pénétration, ce qui m'excite autant, et d'y échapper finalement.

"Si tu n'arrives pas à entrer en moi, tu ne jouiras pas et tu sais combien tu es meilleur au travail après avoir éjaculé tout ton sperme. Essaie encore!"

Désespérément, il se contorsionne pour trouver l'angle adéquat mais son sexe dérape sur mes lèvres, encore et encore, et le gland ne réussit pas à s'immiscer dans ma petite grotte humide.

"Dommage pour toi! Je vais me cacher et à son arrivée tu baiseras ta femme... dans son cul. C'est une bourgeoise dis-tu?! Alors, elle doit rêver de cela!" lui lancé-je et je le libère de ses liens. Il est là, penaud, la bite en feu, debout le pantalon gisant sur ses mocassins Berluti, près de la grande fenêtre donnant sur le boulevard quand Edwige, sa chère épouse, entre dans le bureau, habillée en Chanel, ses cheveux blonds dissimulés sous un élégant Panama.

"Mais enfin Pierre, que t'arrive-t-il?" fut-elle alors qu'elle avance vers son époux, la queue excitée et qui tape contre son ventre tellement il a envie de saillir.

"Je bande Edwige, ne vois-tu pas que je bande comme un âne?". Elle le rejoint, lui prend les mains et d'un air presque dégoûté le sermonne : "Enfin, c'est ridicule! Tu es le directeur d'un hôtel 5 étoiles et tu en es réduit à sortir ton sexe à 10 heures du matin! Nos enfants auraient honte de l'apprendre!"

Il la retourne sans parler, ...

... arrache littéralement sa jupe noire et là voilà à quatre pattes, sa face outrée dissimulée sous le Panama crème. Il tient son sexe bien raide et le place devant l'anus bourgeois. Un mouvement souple et le gland est déjà à moitié dans l'orifice. "Enfin Pierre, que fais-tu? Mes fesses sont vierges et tiennent à le rester". "Edwige, je veux ton cul c'est tout" dit-il et d'un coup de reins sec, il la perfore entièrement, l'énorme tige disparaît en une fraction de seconde. Elle pousse un cri de surprise "ohhhhh" qui dit tout de sa joie d'être honorée ainsi. Pierre la tient fermement aux hanches et la sodomise sans dire un mot. Je crois qu'il a oublié ma présence. Elle n'arrête plus de gémir, la bouche grande ouverte. Son cul est rond, sensuel et je savoure de voir le membre de mon DG y entrer avec frénésie. Il ne la ménage pas du tout, il la pilonne. Edwige a un corps parfait. Après dix minutes environ, il explose en elle en grognant. Elle le reçoit sans rien dire, mais nul doute qu'elle a adoré ce moment inattendu, car elle a collé ses fesses contre lui dès qu'il a gémi de plaisir pour se faire bien emplir le cul. Une recrue un jour, ma chère Edwige?! Moi, je mouille, cachée dans le placard depuis l'entrée de l'épouse finalement pas si coincée que ça, et mes fesses brûlent à l'idée de recevoir ce sexe dur et juteux. Je suis horriblement frustrée de ne pas avoir eu droit à cette délicieuse punition.

Après le départ d'Edwige, je quitte subrepticement mon placard, je félicite le ...