Histoire de famille, d'amitié et d'amour (15) - Histoires de Sexe

Histoire de famille, d'amitié et d'amour (15)

... Marie-Hélène. On verra plus tard pour en trouver un, car il n’y en a pas ici.

— Par contre, on a oublié un détail qui a son importance : mon mari, dit Marie-Hélène.

— Ah oui, il faut penser à mon père quand il sera là, ajoute Laure.

— En principe, on sait quand il rentre deux ou trois jours avant, dis-je. Mais il suffit d’une fois pour qu’il nous grille.

— C’est vrai, et je me rends compte que nous n’avons pas été très prudents, dit Laure.

— Je pense que c’est le bon moment pour vous l’annoncer, dit Marie-Hélène.

Toute la famille est surprise et se demande bien ce que Marie-Hélène va bien pouvoir nous annoncer.

— Depuis que je sors avec vous, dit Marie-Hélène en nous regardant sa fille et moi, je suis vraiment très heureuse. Le fait que notre famille se soit agrandie avec vous, ajoute-t-elle en regardant Joanne et Laurence, m’a rendue encore plus heureuse. Et devoir cacher tout ça à mon mari me pèse énormément. Ça fait un petit moment que j’y pense, mais je vais demander le divorce.

Toute la famille reste là, sans rien dire. Personne ne s’attendait à cette annonce. La première à réagir, c’est sa fille.

— Mais c’est génial maman ! dit-elle avec un grand sourire.

Nous savions que son père et elle ne s’entendaient pas du tout, mais nous ne pensions pas que c’était à ce point.

— Nous allons pouvoir vivre notre amour plus facilement, continue-t-elle, et sans devoir se dire que papa pourrait le découvrir. Et pareil pour notre amour avec ...

... Philippe.

— Je ne savais pas trop comment tu allais réagir mon amour, lui dit sa mère. Tu as raison, on pourra vivre comme un vrai couple, même s’il devra rester secret pour les gens extérieurs.

— Oui, mais au moins à la maison, on pourra être libre, dit Laure. Philippe pourra même venir vivre avec nous, ajoute-t-elle avec un petit clin d’œil en me regardant.

— Je ne m’y attendais pas non plus, dis-je. Mais venir vivre avec vous, je ne sais pas, leur dis-je avec un petit silence rapide et un air sérieux. Mais bien sûr que je viendrais vivre avec vous mes amours ! continué-je avec un grand sourire.

— Tu es trop con, dit Joanne en me donnant un coup de poing sur l’épaule. Tu m’as fait peur, j’ai cru que tu ne voulais pas !

— Je suis content de moi, dis-je avec l’expression de quelqu’un fier de lui.

— Puisque tu m’as fait peur comme ça, tu n’auras plus accès à mes trous pendant une semaine, dit Marie-Hélène en rigolant.

— Je m’en fous, dans la famille, il n’y a pas que ta chatte et ton anus, ma chérie.

— Tu nous as fait peur à toutes les quatre, dit Laurence, donc aucun accès à nos trous.

— Mais c’est une mutinerie, dis-je en rigolant.

Toute la famille rigole aussi. Charlotte se dit que la relation entre Marie-Hélène et sa fille est bizarre, mais que cette famille est très heureuse. Elle est contente de les servir.

— Tu nous tiendras au courant de l’avancement de ton divorce, dit Joanne.

— Oui bien sûr, vous serez les premiers que j’informerais.

— Bon ...