Histoire de famille, d'amitié et d'amour (15) - Histoires de Sexe

Histoire de famille, d'amitié et d'amour (15)

(première partie)

Résumé : après une recherche, la famille a trouvé une soumise pour la servir. Celle-ci s’appelle Charlotte. C’est une fille que je connais depuis longtemps, mais nous nous étions perdus de vue. Je ne savais pas qu’elle était soumise, et elle, que moi j’étais dominateur. C’est Laure et sa mère qui sont allées la chercher (voir chapitre précédent). Elles rentrent à la maison avec elle pour la présenter au reste de la famille.

Nous sommes dans le salon à les attendre avec impatience. Les filles entrent avec la soumise.

— Voici notre soumise, nous dit Laure. Accessoirement, elle s’appelle Charlotte. Mais bon, ce n’est pas trop important. N’est-ce pas la pute ?

— Oui Maîtresse, mon prénom n’est pas important.

Celle-ci est debout, la tête baissée en signe de soumission.

— Charlotte, je te présente tes autres Maîtresses, lui dit Marie-Hélène, Joanne et Laurence qui sortent ensemble. Ton Maître, Philippe, arrive.

— Bonjours Maîtresses, dit Charlotte en baissant à nouveau la tête, l’ayant relevée pour dire bonjour aux filles. Je vous appartiens et je suis entièrement à votre service.

— La tête baissée, c’est bien, lui dit Laure, mais pour dire bonjour, tu dois toujours être à genoux pour bien montrer ton infériorité par rapport à nous. Tu leur redis bonjour.

— Bien Maîtresse.

Charlotte se met donc à genoux et baisse la tête.

— Bonjour Maîtresses. Je vous appartiens et je suis entièrement à votre service.

— Ouhaaaaa, s’exclame ...

... Laurence en s’approchant d’elle. Mais elle est très bien, cette soumise ! Lève-toi.

Charlotte s’exécute. Au même moment, étant dans la cuisine, j’entre dans le salon. Charlotte me voit. À l’expression de son visage, nous comprenons qu’elle est étonnée de me voir. Nous avions pris la décision de ne pas lui dire que je l’avais reconnue sur son profil du site. Et nous espérons qu’elle ne le prendra pas mal.

— Philippe ? s’exclame Charlotte.

— Oui, c’est moi le Maître, lui répondis-je. J’espère que tu ne nous en veux pas de ne t’avoir rien dit par mail, lui dis-je, mais on avait peur que tu refuses.

— C’est vrai que j’aurais préféré le savoir avant. Mais ce n’est pas grave, c’est bien que ça soit toi, car je te fais confiance. Je ne savais pas que tu pratiquais.

— Et moi, que tu étais soumise.

— En fait, ça fait 6 mois que j’ai découvert, et j’ai bien aimé, me répond-elle. Mais maintenant, je ne dois plus t’appeler Philippe, mais Maître Philippe, ajoute-t-elle en baissant la tête.

Joanne aperçoit les boutons arrachés.

— On voulait voir la marchandise et elle n’osait pas, explique Laure. Alors je lui ai donné un coup de main, ajoute-t-elle en souriant.

— Hooo tu es méchante avec notre pauvre salope, lui dis-je en ouvrant la chemise. Mais tu as de très jolis seins ! remarquai-je en les caressant.

— Merci Maître.

— Moi je veux voir ta chatte, dit Laurence.

— Oui Maîtresse, lui répond Charlotte.

Elle se lève et retire son pantalon et sa culotte.

— ...