Histoire de famille, d'amitié et d'amour (15) - Histoires de Sexe

Histoire de famille, d'amitié et d'amour (15)

... Faudra me raser tout ça ! Lui dit Laurence en passant sa main sur la chatte poilue. La famille préfère les chattes bien lisses.

— Oui, c’est ce que je lui ai dit, lui répond Laure.

— Je me raserai Maîtresse, dit la soumise, la tête baissée. Maîtresse Marie-Hélène, je peux vous poser une question ?

— Oui bien sûr, vas-y.

— Je ne savais pas qu’une mère pouvait tomber amoureuse de sa fille, dit Charlotte. Comment c’est arrivé ?

— J’ai été surprise, lui répond Marie-Hélène, quand j’ai remarqué ce sentiment pour ma fille naître en moi. Je ne pouvais pas y croire. Je l’ai gardé pour moi sans en parler, mais c’était dur. Je sortais déjà avec Philippe, on en a parlé, et j’ai décidé de l’avouer à ma fille.

— Voilà comment est née notre famille, ajoute Joanne, et elle s’est agrandie avec moi, quand Philippe m’a dépucelée et avec Laurence avec qui je sors. Ça ne nous empêche pas, Laurence et moi, de baiser aussi avec eux.

— Je vous avoue que c’est bizarre, mais je trouve trop beau, dit la soumise avec un petit sourire.

— Laure et Marie-Hélène t’ont bien expliqué la situation et ce qu’on attend de toi ? lui demande Joanne.

— Oui Maîtresse. C’est pour servir toute la famille, 24 sur 7. Je suis consciente que je perds ma liberté et que je n’aurais plus ni vie privée ni intimité, et que la seule vie sexuelle que je pourrai avoir, c’est vous qui me l’autoriserez. Pareil pour mes relations extérieures, c’est vous qui choisirez mes amis.

— Voilà c’est ça, lui ...

... dis-je. Pour ce soir, est-ce que tu voudras rentrer chez toi ou tu veux rester ici ?

— C’est comme vous voulez, à partir de maintenant, je suis votre propriété, et c’est vous qui décidez pour moi.

— Je propose qu’on la garde pour la nuit et on ira chercher ses affaires demain, dit Laure.

Tout le monde est d’accord.

— En attendant qu’on te trouve un endroit pour dormir, tu vas te mettre là, lui dit Marie-Hélène en lui indiquant un coin du salon. Avec la famille, on discutera de comment s’organiser.

— Bien Maîtresse, dit Charlotte en allant se mettre dans le coin. Je reste debout ou par terre ?

— Tu peux te mettre par terre, lui dis-je. On continue de l’appeler par son prénom ?

— Je pense que chacun fera comme il voudrait non ? propose Joanne.

— Oui, c’est vrai, c’est mieux, répond Laurence.

— Pour dormir, je me disais que l’on pourrait lui faire un coin dans ma chambre, dit Laure en nous regardant sa mère et moi, vu que je dors avec vous maintenant.

— Ça ne serait pas mieux un coin dans notre chambre ? leur dis-je. Car si on a besoin d’elle, on l’aura de suite sous la main.

— Pas faux, répond Laure. Mais on pourrait quand même lui faire un coin dans ma chambre si un jour on veut être tranquille ?

— De toute façon, elle dormira sur des couvertures, dit Marie-Hélène, donc elle pourra les déplacer facilement.

— On ne pourrait pas lui mettre quand même un petit matelas en plus des couvertures ? demande Laure.

— Oui, ça serait bien, dit ...