Nana (9)
Datte: 17/11/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: X. Lamy, Source: Xstory
Une semaine s’était écoulée depuis les performances d’Anaïs au Pays des Merveilles de Mayeul. 7 jours au cours desquels nous avons commencé à développer nos petites habitudes, nos petits rituels. Elle comme moi travaillons beaucoup, mais cela ne nous empêche pas de passer un peu de temps ensemble devant un film, de discuter de sujets frivoles ou profonds. Malgré son âge et son apparente immaturité, Anaïs fait souvent preuve d’une certaine clairvoyance. Le matin, nous faisons un bout de chemin ensemble pour aller à l’université, puis nous nous séparons quelques minutes avant d’y arriver. Il serait facile pour elle comme pour moi de dire qu’elle loge chez moi seulement pour les études, mais nous avons convenu qu’il vaudrait mieux éviter les soupçons, même les plus petits. Côté sexe, il nous a fallu attendre trois jours avant de pouvoir recommencer à faire l’amour et à baiser.
Trois jours de cunnilingus et de fellations, j’adore lui offrir un orgasme avant qu’elle commence sa journée de première année.
Lorsque Anaïs était de nouveau d’attaque, nous avons inauguré à peu près toutes les pièces de l’appartement, autant sur le versant amour passionné que sur celui de la baise bien sentie.
J’ai encore ce souvenir frais d’il y a quelques heures où Anaïs me chevauchait, assis dans mon canapé. Face à moi, elle avait ses mains sur le dossier, son front contre le mien et sa croupe qui dansait langoureusement sur mon bassin. Je sentais l’anneau de son vagin s’élargir à mesure ...
... qu’elle s’empalait dessus, mon sexe engouffré dans le miel brûlant de son plaisir. Nous avions joui ensemble alors que nos langues aussi faisaient l’amour, elles ont continué après notre orgasme. Je lui avais ensuite sucé ses petits seins sucrés jusqu’à ce qu’elle jouisse une deuxième fois, elle m’avait nettoyé le sexe avec sa langue rose et agile. Nous fumions une cigarette, collés l’un à l’autre, lorsqu’elle ramena le sujet du sex-shop :
— C’était bien chez Yeuyeu... Intense, mais bien.
— Hahaha, j’imagine oui ! C’est pas tous les jours qu’on jouit 17 fois ! Qu’est-ce qui t’a plu exactement ?
— Plein de choses... Le fait d’avoir tous ces hommes qui me désiraient et me le faisaient sentir, les vagues de plaisir qui ne s’arrêtent jamais, le fait que c’était des inconnus aussi...
— Ça t’excitait parce que c’était des inconnus ?
— Oui... L’idée de ne probablement jamais les revoir et de se donner autant de plaisir rendait le truc plus intense. C’est assez dur à expliquer...
— Je te comprends en fait, mais c’est vrai que c’est dur à expliquer. Mais je sais ce que c’est, je l’ai déjà fait.
— C’était chez Yeuyeu ?
— Non ! Quand je faisais du dogging, enfin, la plupart.
— Du quoi ?
— Du dogging. C’est de l’argot de Grande-Bretagne, c’est le fait de baiser dans des lieux publics.
— T’as fait ça toi ?!
— Bah oui j’ai fait ça, "moi".
— Hahaha ! Et c’était où ?
— Dans un parking assez connu pour ça. J’y ai passé quelques belles soirées !
— Oh ! ...