1. Un jeune homme à la capitale (18)


    Datte: 17/11/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... nous rendit visite
    
    — Lors les tourtereaux, c’est fini. Vous cherchez à battre un record ?
    
    — Laissez-nous un quart d’heure pour nettoyer et ce sera fini, répondit Arlette.
    
    — tu as raison ma fille, un travail fini, c’est une machine propre et un poste de travail rangé. En tout cas, c’est du bon travail. Mon garçon, la semaine prochaine tu seras au magasin. Ça te changera, tu verras les expéditions, tu apprendras à conduire un chariot élévateur et ça te reposera les bras...
    
    Je répondis sans réfléchir.
    
    — c’est que... Je serais bien resté avec Arlette.
    
    Mr Raymond me regarda, puis regarda Arlette qui pouffa de rire. Il réfléchit longuement :
    
    — Bon d’accord, vous serez tous les deux au magasin. Je vous dois cela après le boulot abattu. Et je ne veux pas séparer un couple qui s’aime. Mais n’en profitez pas pour vous reproduire, ajouta-t-il avec un rire gras.
    
    Enchanté de sa blague, il tourna les talons après nous avoir souhaité un bon week-end.
    
    — Il est top le père Raymond, m’assura Arlette. Parce que le magasin, c’est deux fois plus cool qu’ici et trois fois plus silencieux. Presque des vacances. En plus, on n’est pas obligé de crever de chaleur dans une veste de travail en coton sous des verrières...
    
    Nous finîmes tranquillement notre ménage et la machine était impeccable lorsque nous nous dirigeâmes vers les vestiaires... La plupart des ouvrières étaient parties et je croisai Mamadou et Raoul en « tenue civile » qui me souhaitèrent un bon week-end. ...
    ... Je me déshabillai dans le vestiaire désert, écoutant les voix féminines de l’autre côté du mur. Nu, je nouai une serviette autour de mes reins et muni de mon gel douche et de mon shampoing, je traversai le couloir et entrai dans les douches.
    
    Le côté « hommes » était désert alors que plusieurs bruits de cataractes côté « femmes » m’informèrent que certaines ouvrières profitaient du confort sanitaire offert pour procéder à une grande toilette.
    
    J’entendis la voix d’Arlette chuchoter de l’autre côté de la cloison.
    
    — Tu es seul ?
    
    — Hélas, dis-je en riant, personne pour me frotter le dos...
    
    Je me lavai les cheveux et me séchai. La porte s’ouvrit et Arlette, vêtue en tout et pour tout d’un caleçon entra dans le vestiaire, sa serviette sur l’épaule. Elle mit son index devant sa bouche m’intimant l’ordre de garder le silence, puis alla s’assoir sur le banc. Je la rejoignis après avoir noué ma serviette autour de ma taille. J’allais m’assoir à côté d’elle lorsque la minuterie s’éteignit. Je tendais le bras pour appuyer sur le bouton, mais elle fut plus rapide et se saisit de mon bras, me tirant vers elle et me forçant à m’assoir à ses côtés. A demi nus, dans des douches seulement éclairées par les lumières du côté femme qui filtraient au-dessus et en dessous des cloisons de séparation, la situation était équivoque...
    
    — Je croyais que tu n’aimais pas les garçons ? lui chuchotai-je en posant ma main sur le haut de sa cuisse.
    
    — Arrête tes conneries, retire ta main et ...