Un jeune homme à la capitale (18)
Datte: 17/11/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: JHaParis, Source: Xstory
Au petit-déjeuner, ma tante et moi avions meilleure mine que la veille au matin. Durant le déjeuner où je me régalais de café, de toast et de la vue de sa poitrine largement dévoilée par l’échancrure de son peignoir, ma tante s’enquit des goûts culinaires d’Arlette, me confirmant ainsi son intérêt pour ma camarade de travail ou du moins sa volonté que tout se passe au mieux.
— C’est parce que je vous ai dit qu’elle aime les filles que vous voulez mettre les petits plats dans les grands ?
— Tu es sot. Elle te facilite bien la vie dans ton travail rendant ton stage agréable. Je lui en suis reconnaissante. Elle participe à ton éducation, voilà un deuxième bon point. Et puis ce que tu m’as raconté d’elle est émouvant : son histoire avec ce salaud de père, la manière dont elle s’en est sortie. Ce n’est pas parce qu’on a la belle vie qu’il faut oublier ceux qui souffrent ou qui ont souffert. Au contraire, notre relatif confort de vie nous crée des obligations. Tâche de t’en souvenir avant de devenir un bourgeois égoïste...
Je me levai et allai l’enlacer tendrement :
— Vous êtes un vrai humaniste ma tante. Je vous découvre un peu plus tous les jours et je vous en apprécie d’autant. D’ailleurs en parlant de vous découvrir...
Je cueillis dans ma paume le sein qui pointait dans l’échancrure de son corsage. Elle me donna une tape sur la main...
— Un peu de sérieux jeune homme ou vous serez en retard au travail. Bon ce soir, ce sera saumon à l’unilatérale. J’espère ...
... qu’elle aime le poisson.
Allez file...
Lorsque j’arrivais à la machine, j’avais quelques minutes d’avance et Arlette n’était pas encore arrivée. Mamadou et Raoul, toujours ensemble, vinrent me saluer.
— C’est cool avec toi, me dit Mamadou, tu ne nous donnes pas beaucoup de travail.
— C’est sans doute que je ne veux pas déranger un couple uni.
Ils éclatèrent de rire et s’en furent dans des endroits où leurs compétences étaient réclamées. De mon côté, je comptai les pièces sur les fiches cartonnées et je m’aperçus que la série en cours pouvait être finie aujourd’hui. Ce serait juste, mais possible.
Encouragée par cette perspective, j’allais démarrer la presse quand Arlette surgit essoufflée au moment où la sirène retentissait. Elle avait une petite mine...
Je m’en inquiétai, mais elle me rassura :
— La nuit a été courte, mais c’est de la bonne fatigue.
— Dommage que tu sois crevée, tu aurais dû faire moins de folie de ton corps, car en s’y mettant, on peut terminer la série avant ce soir.
— Ce serait bien, ça ferait plaisir à Mr Raymond. On va en mettre un coup, j’ai de la ressource, me dit-elle en m’envoyant un coup de poing dans l’épaule...
Et la presse démarra son vacarme assourdissant...
... Vers onze heures, Solange surgit avec son chariot et son air indolent. Arlette la salua en lui claquant les fesses et je lui fis également une caresse sur son postérieur rebondi. Après tout, nous étions intimes. Je remplis les fiches tandis que les deux ...