1. Le lendemain - Gerry raconte


    Datte: 16/11/2021, Catégories: f, fh, hplusag, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral jeu, fouetfesse, occasion, Auteur: Lexdepenny, Source: Revebebe

    ... attendre quelques instants, incertaine de ce qui va suivre. Quand je touche son anus avec le bout du gode, elle sursaute.
    
    — Tu as déjà pris ça en gode anal, salope ?
    — Oui. Une fois. Mais c’était difficile. J’ai eu beaucoup de mal à l’accepter. C’est mon mari qui a insisté pour me faire ça.
    — Mais maintenant, c’est toi qui vas me prier de te l’enfoncer dans le cul, n’est-ce pas ? Pour que cet inconnu t’entende le dire. Vas-y. J’écoute.
    
    Elle doit s’y prendre à plusieurs reprises. À chaque fois qu’elle balbutie, je l’arrête et lui dis de recommencer. Finalement…
    
    — Maître, voulez-vous bien m’enfoncer ce gode dans le cul, s’il vous plaît ?
    — Enfoncer jusqu’où ?
    
    Cette fois la réponse ne se fait pas attendre,
    
    — Aussi profondément que possible, s’il vous plaît, maître.
    — Tu auras probablement mal, tu comprends ?
    — Oui, je comprends, mais je le veux.
    
    Je mets le gode en position d’attaque et je commence à pousser. La respiration de Patou accélère. Je continue à pousser et le muscle cède. Le gode fraie son chemin inexorablement dans les tripes de Patou, qui se frotte le clitoris d’une main. Elle couine, elle halète, elle grogne et finalement elle crie. Elle a du mal à accepter le gros machin, mais elle ne rechigne pas. Quand il ne reste que quelques centimètres qui dépassent de son cul, sans crier gare, je mets la vibration en marche.
    
    — Oh, c’est impossible ! Ça me fait vibrer de partout ! Je vais… je vais… je vais jouir !
    
    Elle joint l’acte à la parole. ...
    ... Elle n’arrive plus à contrôler les spasmes qui la secouent. Elle crie, elle rit, elle hurle. Elle donne un spectacle des plus érotiques pendant des minutes entières. Puis elle arrache le gode de son cul. Je vois l’œillet qui clignote comme il avait fait la veille. Elle cale ses mains entre les fesses pendant que sa rondelle retourne à son diamètre normal. Elle fuit vers la salle de bains et s’enferme. J’entends la chasse d’eau, puis la douche. Finalement elle ressort. Elle va directement rechercher le peignoir qu’elle avait abandonné au bord de la piscine, le met et revient vers moi. Je sens qu’elle ne joue plus.
    
    — Ça va, Patou ? Vous vous êtes bien amusée ?
    — Amusée, n’est peut-être pas le mot. C’était excitant et j’ai aimé être poussée au-delà de mes habitudes. J’ai voulu essayer des trucs qu’on a regardés ensemble, Vincent et moi.
    — Moins agréables à vivre qu’à regarder ? Je reconnais ça.
    — J’ai été surprise de jouir quand vous me frappiez sur le sexe. Ça me faisait très mal.
    — Je vous prie de me pardonner, alors.
    — Ah non ! C’est moi qui l’ai demandé ! Mais je ne me vois pas le refaire.
    — Et la cam ?
    — Là, je pourrais être tentée, je crois. Je me suis sentie honteuse, mais cela a renforcé l’orgasme. Être une femme nue et anonyme m’a énormément excitée. Je m’imaginais faire ça devant des gens que moi je connais, sans qu’ils puissent deviner l’identité de cette garce impudique. Finalement, je préfère être une garce qu’une salope, je crois.
    — Ah bon ? Bravo en tout ...