Le lendemain - Gerry raconte
Datte: 16/11/2021,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
jeu,
fouetfesse,
occasion,
Auteur: Lexdepenny, Source: Revebebe
Le lendemain. Gerry raconte…
Il est courant que je me réveille avec de la musique dans la tête. Un air, un morceau, une chanson. Pendant que je me prépare à me lever, j’ai l’habitude de réfléchir, d’essayer de trouver quelle sensation, quelles émotions ou quelles paroles ont provoqué ce phénomène. Le lendemain de l’expérience avec Patou et Vincent, c’est Brassens et « Le Gorille » qui me servent de réveil. Je dois me rappeler presque toutes les paroles avant de trouver la raison.
… qu’on put encore me désirer, ce serait extraordinaire, et pour tout dire, inespéré. Je me souris. C’est bien le cas pour moi. Le spectacle que nous a offert Patou a été superbe, et le fait d’y avoir pu participer physiquement m’a fait un plaisir aussi délicieux qu’inattendu. Je crois aussi avoir aidé Vincent à gérer la situation future. Je reconnais très bien l’envie d’en parler à la femme, de finir par trop insister et de perdre ainsi, et le moment vécu et la possibilité que le moment se reproduise. Je regarde ma montre. Il est huit heures et j’entends une voiture qui part. Vincent ? ou Patou ?
Je passe un coup de fil à l’hôpital. Micky, mon coureur, s’est fait opérer hier et je pourrai le chercher cet après-midi. Le docteur avec qui je parle a un anglais tout à fait suffisant pour communiquer avec mon blessé. J’ai ma matinée pour moi.
Je me lève, je me rase et je prends une douche. Ma tête de vieux dans le miroir ne me plaît pas. Pour un homme de soixante-douze ans, mon corps n’est ...
... pas trop mal, je suppose, mais c’est peu dire, faut admettre. Tant pis. À quoi bon se plaindre. J’ai l’âge que j’ai. Je m’habille, je plie mes bagages, je mets mes sandales et je descends, en essayant de ne pas faire trop de bruit.
Je suis sur le point d’entrer dans la cuisine quand je me sens obligé d’arrêter pour contempler la vue. Patou est devant la fenêtre. Elle porte un peignoir bleu clair. Le soleil matinal passe à travers le tissu fin et me donne une vue imprenable sur ses contours de femme mûre. C’est comme si elle était aussi nue qu’hier soir. Je me félicite à nouveau d’avoir pu participer à ce moment si fort.
Elle doit se rendre compte qu’elle n’est pas seule, parce qu’elle se retourne subitement.
— Oh ! Bonjour, Gerry. Vous m’avez surprise !
— Excusez-moi. Vous aviez l’air perdue dans vos pensées et je ne voulais pas vous interrompre.
Elle rougit.
— Vous voulez un café ?
— Je veux bien.
Elle me verse un café et me le donne.
— J’étais sur le point de prendre mon café sur la terrasse, me dit-elle. Cela vous dit ?
— Volontiers.
On sort de la cuisine et elle me précède jusqu’à la terrasse au bord de la piscine. On s’installe sur des transats et il y a un moment de silence pendant qu’on déguste le café matinal. On dirait qu’elle a quelque chose en tête qui la démange. Puis :
— Parlez-moi de vous, Gerry, me dit-elle.
— Pas de problème. Que voulez-vous savoir ?
— J’ai remarqué que vous portez une alliance. Vous êtes donc marié ?
— Je l’ai ...