1. Le lendemain - Gerry raconte


    Datte: 16/11/2021, Catégories: f, fh, hplusag, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral jeu, fouetfesse, occasion, Auteur: Lexdepenny, Source: Revebebe

    ... été. Je suis veuf depuis longtemps. Vous voulez que je vous raconte ma femme ? C’est une histoire qui en vaut la peine.
    — Une histoire d’amour ?
    — Oui.
    — Dans ce cas, je suis tout ouïe. J’adore les histoires d’amour.
    — Elle s’appelait Pauline. On a passé seulement trois ans ensemble, Pauline et moi.
    — Si peu ? Elle était comment ?
    — Physiquement, un mètre soixante, brune, fine. Des yeux d’un bleu très foncé. Une tête de gamine. Les cheveux noirs coupés court. Rieuse, intellectuelle, très intelligente. Irlandaise comme moi, mais de l’ouest, où on dit que des marins espagnols auraient échoué il y a des siècles. On s’est rencontrés sur un paquebot qui nous emmenait vers l’Angleterre pour étudier. Un déclic immédiat, bizarre, parce que moi je suis de milieu catholique et elle de famille protestante. Cela nous a créé des problèmes dans nos familles par la suite, d’ailleurs. À Londres, je lui ai téléphoné et on a fait des sorties ensemble, histoire de connaître la ville. Chaque fois que j’allais la voir, j’avais la joie au cœur et après un mois comme ça, j’ai compris que je l’aimais. Quand je le lui ai dit, elle est tombée silencieuse. Elle m’a dit qu’elle devait me parler sérieusement. On rigolait tout le temps, alors j’ai su que c’était quelque chose qui devait la travailler.
    — Et ?
    — Elle m’a expliqué qu’elle m’aimait aussi, et qu’elle avait une envie folle de faire l’amour avec moi. J’ai commencé à dire que je ressentais le même désir, mais elle m’a coupé court, en ...
    ... me disant que c’était impossible. Elle a tenu à expliquer. Le problème était physique, pas moral ou culturel. Son vagin était tellement sec, que même une tonne de lubrifiant n’arrivait pas à rendre le coït supportable pour elle.
    — Oh ! La pauvre ! Mais vous l’aimiez et vous l’avez épousée. Cela s’est arrangé après ? Patou demande.
    — Non. On n’a jamais pu faire l’amour vaginal. Mais c’est la seule chose que nous n’avons pas faite. Pauline adorait me sucer, et moi j’adorais lui faire des cunni. Puis, à son instigation, on a exploré la voie anale. Au début, c’était difficile pour elle, mais elle a voulu à tout prix essayer. C’est devenu plus facile et elle a appris à aimer, à en jouir, même. Vous comprenez cela, je pense ?
    
    Patou ne me regarde pas, mais elle fait oui de la tête. Le souvenir de la veille la trouble un peu, on dirait. Se retrouver avec les doigts d’un inconnu dans son cul, pendant que son mari la baisait ne devait pas lui arriver tous les jours.
    
    — Mais ce n’est pas tout, je continue. Pauline trouvait que, même si elle ne pouvait pas faire l’amour, comme elle disait, normalement, il n’y avait pas de raison que j’en sois privé, et elle m’encourageait à chercher d’autres partenaires. Au début je ne voulais pas, mais elle insistait. La première fois, c’était avec une de ses amies, Christine. Celle-ci n’était pas très jolie, et je crois que Pauline me l’a proposée un peu comme œuvre caritative. Une fois nue, j’ai été ravi de trouver qu’elle avait un corps très ...
«1234...10»