1. Vacances à Nice


    Datte: 16/11/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, grossexe, vacances, piscine, hsoumis, noculotte, Masturbation massage, Oral pénétratio, init, initiatiq, Auteur: Jimmychou, Source: Revebebe

    ... vas commencer par retirer ton caleçon de bain, mon petit Arnaud, que je découvre enfin ce machin que tu as entre les jambes et qui n’arrête pas de jouer du trombone à coulisse.
    
    Sa demande me laissa tétanisé.
    
    — Allons, ne m’oblige pas à m’en occuper moi-même. D’après ce que j’ai pu observer depuis que je t’ai accueilli à l’aéroport, tu n’as pas à avoir honte de l’engin qui pend entre tes cuisses. Allez, debout ! s’écria-t-elle en me donnant une tape derrière la tête.
    
    Je m’exécutai avant de faire glisser mon bermuda en bas de mes jambes, n’osant me tourner pour lui faire face.
    
    — Si tu ne viens pas à Lagardère, alors Lagardère viendra à toi, ajouta-t-elle en se déplaçant devant moi découvrant ma tige pointée vers le ciel.
    — Ah, quand même ! lâcha-t-elle visiblement impressionnée. Je comprends mieux pourquoi tu n’arrives pas à te trouver de petites copines. Un engin pareil n’est pas à mettre entre toutes les cuisses. Je vais te mettre à l’aise en retirant moi aussi mon maillot, annonça-t-elle alors.
    
    L’effet sur ma sérénité fut assez mitigé au contraire de celui produit sur mon dard qui se mit à enfler de manière indécente.
    
    Je ne pouvais détacher mon regard du mont de Vénus de ma marraine. Recouvert d’une petite toison triangulaire bien fournie, il était trempé de cyprine.
    
    Sans se soucier de mon état, Sylvie attrapa mon manche à pleines mains.
    
    — C’est dingue ! Mes doigts ne peuvent pas faire le tour de ton pieu et ton gland dépasse encore quand ...
    ... j’aligne mes deux mains autour de ta tige. Ta queue est une véritable arme de destruction massive, mon chéri.
    
    Elle s’accroupit alors à mes pieds et emboucha la grosse tête violacée entre ses lèvres couvertes de rouge à lèvres vermillon. Puis elle se mit à donner de petits coups de langue sur mon méat et à la base de mon gland avec une maestria telle que je ne pus m’empêcher, après quelques minutes de ce traitement de maintenir fermement sa tête dans mes mains tout en déversant mon jus par saccades au fond de sa gorge.
    
    — Houlala ! s’exclama-t-elle après avoir avalé toute ma sève. Il va falloir que tu apprennes à dompter le geyser que tu caches derrière cet imposant canon.
    
    Sans répondre, j’aidai ma tante à se relever et la pris dans mes bras pour l’embrasser à pleine bouche. Elle ne me repoussa pas, bien au contraire, constatant avec satisfaction que mon braquemart reprenait toute sa vigueur.
    
    Elle s’en saisit alors et décolla ses lèvres des miennes pour regarder mon chibre et le soupeser avec admiration.
    
    — Ah, la fougue de la jeunesse ! Quelle queue, mon filleul ! C’est un roc !… C’est un pic !… C’est un cap ! Que dis-je, c’est un cap ? C’est une péninsule !
    
    J’eus ainsi l’occasion de constater que ma marraine n’était pas qu’une belle femme très chaude, mais qu’elle avait aussi des lettres.
    
    Tout en me tenant par le sexe, elle me conduisit alors dans sa chambre où elle me fit comprendre que je devais m’allonger sur le lit et sur le dos.
    
    J’attendis donc ...
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