1. Vacances à Nice


    Datte: 16/11/2021, Catégories: fh, fplusag, jeunes, grossexe, vacances, piscine, hsoumis, noculotte, Masturbation massage, Oral pénétratio, init, initiatiq, Auteur: Jimmychou, Source: Revebebe

    Je venais de fêter mes dix-huit ans et pour les vacances d’été mes parents m’avaient envoyé passer deux semaines chez Sylvie, ma marraine, qui habite dans une petite maison située dans les hauts de Nice. Sylvie était alors âgée de trente-neuf ans. Célibataire convaincue, elle était l’une des plus anciennes copines de ma mère et sa meilleure amie à l’époque de ma naissance.
    
    Sylvie avait la réputation d’être peu farouche et je m’étais demandé si mes parents ne m’avaient pas envoyé séjourner chez elle avec l’espoir qu’elle m’aiderait à me déniaiser, car non seulement, j’étais toujours puceau, mais en plus j’étais plutôt timide et maladroit avec les filles.
    
    Lorsque j’aperçus Sylvie venue m’accueillir à l’aéroport, je me dis que mes prédictions ne devaient pas être si mauvaises et je me demandai comment j’allais pouvoir faire pour ne pas choper une gaule monumentale pendant qu’elle me conduirait chez elle.
    
    J’avais devant les yeux une vraie bombe, brune de 1,66 m avec toute la panoplie de la cagole : dos nu jaune canari sous lequel on devinait ses gros nichons ronds et siliconés aux tétons turgescents, minijupe en jean blanc mettant en valeur son cul épanoui et ses longues jambes bronzées, escarpins en cuir beige à talons aiguille de 13 cm, le tout rehaussé par un maquillage appuyé, de larges créoles à ses oreilles et une fine chaîne en or autour de la cheville.
    
    Bref, le fantasme ultime pour le puceau que j’étais à l’époque. Et lorsque Sylvie me fit la bise pour me ...
    ... saluer, l’odeur envoûtante de son parfum déclencha immédiatement mon érection.
    
    Elle fit mine de ne pas s’en apercevoir, mais son sourire en coin me laissa penser qu’elle était plutôt satisfaite de l’effet produit sur ma personne.
    
    — Ça fait longtemps que je n’ai pas vu tes parents, commença-t-elle, même si ta mère et moi nous appelons au moins une fois par mois, mais j’ai l’impression que tu ressembles beaucoup à ton père. Grand et plutôt costaud avec le même air viril qui faisait tourner la tête à toutes les filles lorsque je l’ai rencontré. Il a fait beaucoup de déçues, crois-moi, quand il a choisi ta mère pour l’épouser.
    
    La confidence de Sylvie me surprit un peu, car j’imaginais mal à cet instant que l’homme dégarni au ventre rebondi que j’avais quitté quelques heures plus tôt ait pu être un bourreau des cœurs dans sa jeunesse.
    
    Constatant mon léger malaise, Sylvie me regarda en souriant :
    
    — Tu devrais te faire couper les cheveux et changer tes grosses lunettes. Ça ne t’avantage pas vraiment. Dès demain, tu iras chez le coiffeur et ensuite je t’emmènerai chez un ami opticien qui pourra te faire des lunettes de soleil à ta vue.
    
    J’étais plutôt fier de ma tignasse à la Jimmy Hendrix, mais j’étais prêt à la sacrifier pour faire plaisir à ma marraine qui, je l’espérais, allait m’aider à me débarrasser d’un pucelage qui commençait à me peser.
    
    Confortablement assis aux côtés de Sylvie dans sa golf décapotable, je passai une bonne partie du trajet à mater ses ...
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