1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1536)


    Datte: 15/11/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... maintenant la nouille à l’air, de surcroit, érigée, je me sentais de plus en plus vacillant, la honte me taraudait. Une honte délicieuse et appréciée qui augmentait lorsque la pulpe du pouce du Maître caressait le frein de mon sexe parfaitement droit et terriblement violacé, cet index qui cueillait la goutte qui brillait à l’extrémité du méat pour l’étaler sur mon gland turgescent et violacé. J’avais de plus en plus de mal à retenir l’orgasme qui montait. Deux coups de poignets auraient suffi pour me faire éjaculer. « Ah frustration, satanée frustration ! », pensais-je
    
    - Seb va te conduire en cuisine, tu lèveras la table et fera la vaisselle en bon larbin que tu es. Attention, il t’est formellement interdit de te toucher, sinon…
    
    Sinon… je connaissais la suite ! A plusieurs reprises, Seb venait me surveiller, il me tournait autour, me donnant parfois une petite claque sur mon postérieur que je cambrais. Une autre fois, alors que je m’appliquais à laver méticuleusement les verres fragiles en cristal, il s’installait derrière moi, se plaquait contre moi, en me tenant par les hanches. Je sentais son sexe tendu sous son pantalon s’écraser contre ma raie anale et son souffle chaud dans ma nuque.
    
    - T’inquiète salope ! Je vais bientôt remplir ton trou de pute, me murmurait-il dans le creux de mon oreille.
    
    Devais-je m’inquiéter ? Il me semblait bien membré, tout au moins c’était l’impression que j’en avais.
    
    - Tu es vraiment une bonne salope toi ! affirmait-il en ...
    ... passant sa main sur mon sexe encore érigé
    
    Impossible de le nier, j’étais chaud, chaud bouillant, chaud comme la braise, pourtant je n’appréciais guère cet individu. Un violent frisson me parcourait l’échine, un gémissement m’échappait. L’index de Seb me fouillait, effleurait ma prostate hypersensible. Mon sexe pulsait de plus belle.
    
    - Ouvre-toi bâtard !
    
    Docilement, j’écartais un peu plus les jambes et basculais mon bassin vers l’arrière, afin que l’entrée de mon corps lui soit plus accessible. Le doigt se retirait, je le sentis s’accroupir et un muscle chaud et humide le remplaçait. Le bout de sa langue titillait sans pitié mon anus entrouvert. Incapable de me retenir, je laissais échapper un long cri de frustration, tout en ruant pour tenter de branler ma nouille contre l’évier.
    
    - Seconde punition… à ce rythme-là tu ne vas pas pouvoir t’assoir pendant huit jours ! Tu es trop bruyant, tu t’agites trop à mon goût, arrête d’espérer astiquer ta nouille, tu crois que je ne t’ai pas vu, sale chien en rut !
    
    Cette langue me dardait toujours, ce jeune-là avait de l’expérience, il savait m’agacer, m’exciter, me lubrifier soigneusement. Je le savais, sous peu, j’allais être utilisé comme sex-toy après avoir été larbin… Sitôt revenu dans le séjour, le Maître de Son index m’indiquait la table basse.
    
    - Monte là-dessus, offre-toi Mon chien !
    
    Sans une once d’hésitation, dans une indécence parfaite, je m’allongeais à plat dos sur cette table, disjoignais mes cuisses, relevais ...