1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1536)


    Datte: 15/11/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1535) -
    
    Chapitre 11 : L’anniversaire de Monsieur Jean –
    
    Il me faudrait le remercier, tôt ou tard, mais pour l’heure le Noble me tenait par ce collier métallique et m’emmenait dans une autre pièce. Celle-ci était peu éclairée. Près d’une poutre en bois verticale, Il m’attachait par mon collier. Il m’était impossible de bouger beaucoup. Là, pendant un temps interminable, sans doute plus de deux heures, je restais ainsi, debout, avec des fourmillements dans les jambes. D’une pièce, à proximité de celle où je me trouvais, j’entendais parfois des éclats de rire, de joyeuses discutions sans en comprendre les mots, des bruits de verres s’entrechoquer… Moi, perdu dans mes pensées, je guettais cette porte par laquelle le Maître m’avait conduit. Je perdais patience, me désespérais, me morfondais, me questionnais : « Es-tu bien fait pour être ce soumis que tu espères être ? » A cet instant, une lumière s’éclairait, un jeune homme apparaissait. Blond, les yeux bleus, plus jeune que moi, une vingtaine d’années seulement, le regard sévère aux grands yeux tous ronds et déterminé, le visage impassible. Il avançait vers moi lentement. Il portait une veste de costume, les pans de sa chemise blanche sortaient de son pantalon. Il s’approchait encore, mâchoires crispées, dédaigneux et hautain en fixant son regard froid dans le mien. A deux pas de moi, sans que je puisse m’en ...
    ... douter une seule seconde, il m’administrait une violente gifle, tout en me crachant à la figure. Pour le moins surpris, j’en perdais le souffle et vacillais.
    
    - Rappelle-moi ce que tu es ?, me questionnait-il
    
    Comme je ne répondais rien, il me donnait une seconde gifle aussi violente que la précédente, suivi d’un deuxième crachat coulant sur ma joue, puis il reprenait la parole.
    
    - As-tu oublié ce que tu es ? me disait-il en me dévisageant d’une sévérité extrême.
    
    Après un long silence, il continuait.
    
    - Tu n’es qu’un soumis, et lorsqu’on est ce que tu es, on baisse les yeux, tu comprends ça, salope ?
    
    - Oui Monsieur, répondis-je en baissant le regard.
    
    Ouf ! Ma réponse semblait le satisfaire. Une de ses mains glissait sur ma poitrine puis deux de ses doigts jouaient avec mon mamelon droit quelques secondes. Immédiatement, je sentais ma nouille pulser dans son étui métallique, puis il me soulevait le menton en me fixant droit dans les yeux. Son regard était acéré, glacial, il m’était insupportable de me faire humilier de la sorte par un plus jeune que moi et pourtant je me laissais faire.
    
    - Tous tes désirs et tes bas instincts te disent de te mettre à genoux. Ils te disent de sucer de la bite, de lécher une chatte, des couilles, un cul ! Ces mêmes instincts te hurlent de cambrer tes reins, et d’offrir ton trou pour être rempli. Tu es né et programmé pour servir, tu es né pour être utilisé, alors assume toi tel que tu es !
    
    - Bien Monsieur !, murmurais-je, ...
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