La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1536)
Datte: 15/11/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... frissonnant d’entendre toutes ces réalités qui m’excitaient.
Murmure rauque avec ce sentiment de n’être qu’une proie, un jouet, un objet, une chose sexuelle que l’on rabaissait et déconsidérait. Pourtant, ces mots dégradants me donnaient plus encore envie de me montrer veule, inconsistant et soumis. Mon excitation montait, ma bite captive s’affolait. Puis, il me détachait, empoignait mes couilles.
- Suis-moi salope, nous avons besoin de toi, sale pute !
J’entrais, tiré par mes couilles, dans cette pièce sombre, juste éclairée par des chandeliers. Je distinguais difficilement ceux assis sur un canapé rouge, je reconnaissais néanmoins Monsieur le Marquis et Madame Alice. A côté d’eux, un homme gros, sa bedaine lui tombant sur les cuisses, il était joufflu et cheveux grisonnants. Il se palpait le sexe au travers de son pantalon. « Peut-être Monsieur Jean ? » me disais-je. J’étais conduis jusque devant le Maitre assis. A Sa hauteur, je croisais les bras dans le dos et baissais un peu plus la tête pour Lui rendre compte de ma soumission et de mon entière dévotion. Madame Alice prenait la parole !
- Voilà l’objet en question, mon cher Jean, je remercie encore Edouard de nous le prêter car je tenais à te l’offrir ce soir pour ton anniversaire.
- Toute son éducation reste à faire, renchérit le Noble, il doit être dressé, il doit apprendre à vivre autrement, il doit apprendre à satisfaire Ceux que Nous sommes, il doit accepter l’humiliation, la contrainte, la ...
... douleur jouissive et la frustration, beaucoup de travail donc, mais ce chien a un réel potentiel, une réelle capacité à s’adapter à cette nouvelle vie que je lui offre désormais.
- C’est pourquoi, je te l’offre ce soir, rajoutait Madame Alice…
- Bon anniversaire mon cher Jean ! Joyeux 60 ans… finirent par dire ensemble Monsieur le Marquis et Madame Alice
Parfaitement immobile, honteux d’être ainsi nu devant ces quatre personnes, mon esprit divaguait encore et toujours. Qu’allait-on faire de moi ? Que devrais-je subir ? Je devenais un objet servant de cadeau. Pourquoi étais-je là, vulnérable tête basse ? Pourquoi… pourquoi mon esprit ne voulait-il pas baisser pavillon, démissionner, s’avouer vaincu ?
- Approche t’ai-je ordonné !
Perdu dans mes questionnements imbéciles, je n’avais pas entendu le premier ordre fixé, j’avançais près du Maitre. Alors qu’il ôtait ma cage de chasteté, le jeune homme blond intervenait :
- La non-exécution immédiate d’une Exigence doit être sanctionnée me semble-t-il, s’exclamait-il avec méchanceté.
« Quel salaud ce jeune blanc-bec ! » pensais-je. Il se la jouait grave…se la ramenait, fanfaronnait tout en se pavanant.
- Ne t’inquiète pas Sébastien, ce chien sera sanctionné, il le sait d’ailleurs, mais j’aime le laisser cogiter et réfléchir de ses erreurs ou manquements, lui répondait le Maître.
- Ta perversité n’a point d’égale, mon cher Edouard !, s’esclaffait Monsieur Jean.
Je tremblais, mon cœur battait la chamade. Nu et ...