1. Mille neuf cent soixante huit (3)


    Datte: 15/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Conkupiçan, Source: Xstory

    ... fuseau la moule. La moule dans son fuseau. Je divague. Le style est fluide. Les branches chargées de neige nous fouettent de temps en temps.
    
    Arrivée. Discussion avec le père H.
    
    Faut tout raconter. Ils ont le temps en hiver.
    
    -Boudiou Henriette t’as encore fait des conneries. T’aurais pu y rester cte fois là. Déjà que t’as failli nous faire fusiller par les Boches... Et avec le jeune encore... Tu changeras pas. T’fais rien qu’à ta tête.
    
    — Ça c’est sûr et... T’inquiète pas pour le jeune. Il est pas loin de devenir un homme.
    
    L’allusion je l’ai prise pour moi. Rapport au réveil un peu chaud.
    
    — Ça pour sûr. Un beau gars de chez nous! ( Et là quelques mots probablement en patois que je ne distinguai pas, mais qui les fit bien rire).
    
    — Ç’la dit ma petite Henriette, pour le tracteur c’est "non". C’est pas un chasse neige et y pourrait verser. T’inquiète pas la neige va se tasser. Tu devrais pouvoir descendre ta chignole. Mais monter pour sûr que non.
    
    — C’est ce qu’on va faire. T’aurais pas des oeufs et du lait à vendre?
    
    — Pitin, t’as encore un réseau à nourrir? C’est pas bien la saison mais on va te trouver ça.
    
    Transactions faites on est remontés. Les oeufs, du lait, du pain, du jambon sec en prime. De quoi picniquer en route. Car la remontée fût longue par le chemin forestier. On dépassa la voiture et nous rejoignîmes le chalet vers 17h30 à la tombée de la nuit.
    
    Je n’avais pas beaucoup pû contempler le cul de ma mère. Elle m’avait fait passer en ...
    ... premier pour faire la trace:
    
    "Place aux jeunes!" Mais j’y pensais sans cesse. Le chemin m’en paru plus court.
    
    Le soir se passa des plus calmement. Il régnait une bonne chaleur au rez de chaussée et ça ne nous disait rien de monter dans la chambre non chauffée. On s’était tous deux mis à l’aise. On avait même partagé un petit verre d’alcool local.
    
    Le feu crépitait doucement dans le petit fourneau de fonte presque porté au rouge quand maman décida d’aller se coucher, bien sûr via la salle de bain. Je remarquai quelle avait laissé entrouverte la porte de la cuisine et aussi celle de la salle de bain, qui certes ne se verrouillait pas, mais avait tout de même une poignée . Je remarquai ces détails. Aucun de ces détails ne m’échappaient depuis ce matin. L’alcool d’herbe tournait un peu, au même rythme de mes pensées et plus encore de mes désirs illicites. Je m’apperçu que je bandais. Sans aucun délai, n’y tenant plus, je me levai et entrai sans frapper dans la salle de bain où ma mère se tenait devant le lavabo, entièrement nue. Je n’avais aucun plan. J’avais ou du pif, ou de la chance.
    
    Elle sursauta et se tourna vers moi les deux mains en arrière paumes appuyées sur la vasque. Ça dégageait et remontait sa poitrine, la rendant offerte et sensuelle au possible.
    
    Elle aurait pu mettre un bras sur ses seins un autre sur sa touffe, me hurler de sortir,mais non. Elle se tournait vers moi, avec ces hanches larges, son corps fin et musclé, ses petits seins bien ronds et fermes. ...
«1...345...8»