Tonton j'ai froid (3) - Histoires de Sexe

Tonton j'ai froid (3)

... t-shirt et enfile la nuisette. Comme elle est belle, on dirait une jeune déesse descendue des cieux juste devant moi. Je n’ai qu’une envie, c’est de me précipiter sur elle et de la prendre sauvagement tel un bouc en chaleur. Mais je reste assis et me contente de l’admirer.

— Tu es superbe, cela te va vraiment bien, t’es contente ?

— Ravie, c’est sexy, tu ne trouves pas ?

— A fond, si je peux me permettre, t’es bandante à mort ma puce.

— C’est vrai ? Montre-moi.

Ma louloute vient à côté de moi, écarte le tissu éponge de ma sortie de bain en disant :

— T’as raison ! Belle bandaison. Je voudrais faire une ou deux photos de ton engin ... d’ac ? En guise de souvenir de relation.

— Vas-y. Alors moi aussi j’ai droit à un petit rappel de ton superbe corps hein.

— Normal ! Avec ou sans la nuisette ?

— Les deux, obligé !

Voyeurs complices, encore une nouveauté ! Mais quelle aventure ! J’aime passionnément.

Elle s’assied à califourchon sur moi, passe un bras autour de mon cou, m’embrasse avec fureur, son autre main empoigne mon membre et le caresse avec délicatesse.

— Je suis tellement bien avec toi, tonton. Tu me rends heureuse comme je ne l’ai jamais été, merci pour tout. Je suis triste de quitter la chaleur de tes bras et de tout le reste, je t’aime.

— Oh mon ange, je t’aime aussi et tu me combles de bonheur. Je vis un moment unique grâce à toi.

Nous sommes restés longtemps ainsi, enlacés, ivres de bien-être. Quoiqu’il arrive dans ...

... l’avenir, ces instants resteront gravés à jamais dans ma mémoire. Une telle complicité, un tel ravissement n’arrivent pas souvent au cours d’une vie. C’est avec regret que je jette un coup d’œil à la montre pendue au mur et voyant l’heure, je lui murmure au creux de l’oreille :

— Tes parents arrivent dans une petite heure, tu dois te préparer ma toute belle.

— Oui je sais, je comprends, mais j’ai pas envie de te quitter. Pff, bon OK j’y vais.

Nous avons partagé un verre en famille avant qu’ils ne partent chez eux. J’ai fait un maximum pour que Fabienne et Jules ne soupçonnent pas la relation, amoureuse, que j’ai avec ma jeune nièce. Ils m’ont invité le mois prochain pour fêter l’anniversaire de Claudine. Au moment où ils sont montés dans la voiture, Claudine est revenue en courant et dans le hall d’entrée à l’abri du regard de ses parents, a soulevé sa jupe pour me montrer son abricot dénudé en disant :

— T’as vu, je mouille déjà rien qu’en pensant au mois prochain.

— T’es une coquine !

— Et toi un pervers !

— Vas-y file mon amour, à tout bientôt.

— Ciao tonton adoré, au plaisir de te revoir !

Je suis retourné dans la chambre pour faire la sieste et quelle surprise de voir sur le lit sa petite culotte avec un papier où elle avait écrit : un souvenir de moi. Je t’ai piqué ton boxer pour que tu sois un peu près de moi. Je t’aime mon oncle XXL.

Je me suis couché et je me suis fait en replay le film de ces dernières heures : cette divine idylle.