Tonton j'ai froid (3)
Datte: 12/11/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: colombus, Source: Xstory
Les jours et les semaines ont passé depuis cette merveilleuse aventure avec Claudine et j’y repense souvent. Nous nous échangeons des messages de temps en temps, chacun de nous essayons d’imaginer une possibilité de se revoir. Mais sans succès.
Puis un jour, la chance nous sourit. Je reçois un message de ma nièce tant désiré :
— Bonne nouvelle, je pourrais venir chez toi dans environ 3 semaines. Mes parents vont passer un week-end à plus ou moins 50 bornes de chez toi, pour une réunion d’anciens de classe de mon papa. Ils se retrouvent un samedi soir pour faire la fiesta entre copains et comme c’est trop loin pour revenir à la maison la nuit même, ils ont réservé une chambre d’hôtel à l’endroit de leur réunion. Moi je leur ai suggéré de venir chez toi ce soir-là et ils viennent me déposer et me reprennent le lendemain. Es-tu d’accord ? J’espère que oui. J’attends impatiemment ta réponse, bisou.
Ma réponse fut immédiate :
— C’est formidable ! Évidemment que je suis d’accord ma douce. C’est la chose que je désire le plus au monde, te revoir et te serrer tout contre moi.
Enfin, le jour tant attendu arrive. Fabienne, Jules et Claudine arrivent en fin d’après-midi chez moi. Nous partageons un verre ensemble en pleine bonne humeur. Au bout d’une demi-heure, ses parents décident de s’en aller à leur rendez-vous. Fabienne, sur le pas de la porte, dit à sa jeune fille :
— Promets-moi d’être gentille avec ton oncle ! Ne fais pas de bêtises hein !
— Oh maman, ça ...
... suffit, je ne suis plus une gamine ! C’est promis, je serai sage, ne t’inquiète pas.
Les voilà partis. Nous nous retrouvons seuls, face à face, elle vient contre moi. Je l’enlace tendrement, elle pose sa tête sur mon épaule, je lui caresse les cheveux, l’embrasse dans le cou et lui murmure à l’oreille :
— Ma toute belle, j’ai tellement attendu ce moment, j’ai envie de toi.
— Moi aussi tonton, je suis à toi, ce moment, j’y pense depuis tant de jours, de semaines.
— Je vais te donner tout le bonheur que tu mérites ma douce.
Nous nous embrassons d’abord lentement puis la passion nous emporte et c’est goulûment, sans retenue que nos langues s’unissent. Cette étreinte accompagnée de soupirs dure un long moment.
— Tonton...
— Oui ?
— J’ai chaud...
— Ah, et ?
— Déshabille-moi. Lentement.
— Tes désirs sont des ordres ma puce, laisse-toi faire.
Je recule d’un pas et commence à lui déboutonner le chemisier qu’elle porte. Je découvre lentement sa poitrine pour faire apparaître un soutien blanc bordé de fines dentelles. Les derniers boutons défaits laissent voir son ventre plat et un nombril d’une forme parfaite, sur lequel je dépose, en me penchant, un doux baiser. Je me redresse et la regarde dans les yeux couleur noisette. Je déboutonne sa jupe plissée à carreaux et délicatement les deux mains posées sur ses hanches, je fais glisser le tissu à terre. Ma demoiselle baisse les paupières et penche la tête un peu vers l’arrière. Je me mets à genoux et mon ...