Tonton j'ai froid (3) - Histoires de Sexe

Tonton j'ai froid (3)

... temps, je m’introduis dans la chaleur de son sexe. La belle pousse un cri de satisfaction, s’accroche à moi, ses petits seins se pressent contre ma poitrine, son bassin accompagne mes coups de boutoir pour je puisse la pénétrer entièrement. J’ai tellement désiré ce moment que ma jouissance ne tarde pas à venir. Je la serre encore plus contre moi et ma semence jaillit en elle. Je la couvre de baisers de façon frénétique, le souffle court, je murmure :

— Ma douce, tu viens de me donner un tel plaisir !

— C’est tout aussi agréable pour moi aussi, tu as été si fougueux, je me sens femme dans tes bras.

Après être revenus un peu à la réalité, nous sommes restés un long moment l’un contre l’autre. Une tendre complicité nous unit. Au bout d’un moment, je lui dis :

— Cela m’a donné faim, pas toi ?

— Si, moi aussi. Il faut reprendre des forces parce qu’il nous reste encore une longue nuit pour recommencer encore et encore tonton. Un grand sourire se dessine sur son visage.

— Oh que oui ma puce, on va en profiter un max, fais-moi confiance. Bon, je t’invite au resto pour fêter cela. Il y a un Italien pas loin, tu vas voir, un vrai régal. Avant, nous allons prendre une douche ensemble, si tu es d’accord ?

— Excellente idée !

Après la douche que nous avons partagée avec sensualité et douceur, nous voilà prêts à partir. Au moment d’ ouvrir la porte, je lui demande :

— Je voudrais que tu fasses quelque chose pour moi s’il te plaît.

— Oui, quoi ?

— Ben c’est ...

... un peu particulier, si ça te dérange, tu peux refuser sans problème.

— Tu m’intrigues... c’est quoi, dis-moi !

— J’aimerais que tu... tu ne portes rien sous ta jupe.

— Comment,... tu veux que je me balade sans culotte, c’est ça ?

— Oui, c’est exactement ça. T’es pas obligée, c’est juste un petit plaisir auquel je pense...

— Eh bien toi alors ! C’est pas un peu pervers non ?

— Peut-être, alors t’es d’accord ?

— J’ai jamais fait cela, bon j’accepte, je suis curieuse de voir quel effet cela fait.

— Merci, t’es gentille. »

— Mais à une condition !

— Laquelle ?

— C’est que tu enlèves mon slip toi même.

— Avec joie Ma dame, vous permettez ?

Claudine relève sa jupe, je me mets à genoux et lui enlève le tissu. J’en profite pour pétrir ses divines fesses et du bout de la langue lui lécher le minou et sucer son bouton d’amour. Elle les mains posées sur ma tête me presse fortement un instant contre son entrecuisse et faussement agacée, dit :

— Monsieur, ça suffit ! J’ai faim, on y va !

C’est en riant que nous prenons le chemin vers le restaurant.

Nous avons dévoré le repas. Nous avons ri, parfois même bruyamment, vu les regards de certaines personnes assises aux tables près de nous. Par deux fois, j’ai fait tomber mes couverts au sol, rien que pour apercevoir un bref instant, sous la table, le sexe tant convoité de ma nièce, qui elle comprenant mon jeu, écartait les cuisses pour que je puisse jouir du panorama offert. A la fin du dîner, le ...