Spectacle chair et lumière (1)
Datte: 12/11/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... Une boule de chaleur s’était formée dans ma gorge et envahissait mon crâne. L’attraction des sublimes globes de chair dont je venais du bout du nez d’éprouver la souplesse, devenait irrésistible. Comme dans Mélancholia, la collision dramatique allait se produire et ce serait, sinon la fin du monde, le début des ennuis.
C’est alors que le miracle se produisit, un des plus beaux moments de ma vie, comme on a coutume de le dire pour la naissance de ses enfants, un instant bref, mais inoubliable, à jamais gravé dans ma mémoire, un de ceux qui certainement résisteront à la sénilité si un jour la mémoire me fuit.
Comme cela se produit parfois pendant ces passages chaotiques, le train s’éteignit. Secoué de toutes parts, il s’éteignit. Je suis convaincu aujourd’hui encore que, si je ne fis rien pour l’éviter, je ne fus pas le principal responsable de ce qui se passa ensuite.
Le cul vint à la rencontre de mon visage, si bien qu’il s’y écrasa, que le nez se fourra dans la raie tandis que mes joues rejoignaient les fesses. Ni elle ni moi ne fîmes ce qu’il fallait pour que cela s’interrompe. A l’inverse, l’un comme l’autre, avec la complicité des mouvements anarchiques du train, prolongions l’instant en nous frottant de plus belle, comme cherchant à nous mélanger l’un à l’autre.
Tout à coup, mes mains s’animèrent, comme se rappelant qu’en général, elles participaient à ce genre de fête, et agrippèrent les hanches de la fille. La souplesse et la fermeté de la chair ...
... m’éblouirent. Ma main droite se jeta là encore de sa propre volonté vers la chatte et le majeur glissa dans la petite fente chaude, recouverte d’une mince cloison de tissus élastiques. Le cul, vivant, répondait à ma caresse, se donnait du mieux qu’il le pouvait à ce baiser. Les muscles s’agitaient sous mes doigts et contre ma figure, le bassin gigotait d’avant en arrière et de manière circulaire avec une frénésie croissante. La fille participait à cette étreinte avec le même enthousiasme empressé que moi, désireuse de profiter autant que possible de cet instant de grâce avant que les lumières ne se rallument.
Il y eut d’abord un clignotement stroboscopique me permettant enfin de voir par flashs ce que je faisais : mes doigts crispés sur une fesse, comme dans de la pâte à pain, le tissu mouillé par ma salive. Levant les yeux : le visage de la fille, extatique, semblable à celui de Thérèse d’Avila, sculptée par Le Bernin.
Puis les ténèbres revinrent et il me sembla alors que ce moment infime de ma vie méritait que je me donne entièrement à lui, afin que je ne puisse rien en regretter, jamais.
D’un geste, en une fraction de seconde, je baissais le pantalon de la fille et donnais alors à son cul le plus tendre et le plus fougueux des baisers de toute ma vie. Et le cul y répondit de la plus émouvante manière, s’ouvrant en grand, invitant ma langue et mes doigts à investir ses orifices. J’ai encore aujourd’hui à l’évocation de ce souvenir, précise et vivace sur mes doigts la ...