1. Spectacle chair et lumière (1)


    Datte: 12/11/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... l’écran de son portable et ne s’en détachaient qu’à de rares occasions, par exemple pour vérifier dans quelle station le train débouchait. L’excitante étrangeté de cette situation occupa mon esprit une bonne partie du vendredi soir, l’image du merveilleux cul s’imposant à moi à la manière d’une persistance rétinienne, comme superposée à ma réalité jusqu’à ce que la routine, les joies et les contraintes familiales l’effacent du champ de mes pensées.
    
    Ce lundi-là donc, assis à ma place habituelle dans le métro, préoccupé par des embûches qui avaient ponctué ma journée de boulot, je ne pensais pas la fille callipyge lorsque, relevant la tête de mon portable, je me trouvais pour ainsi dire nez à nez avec le plus beau cul de la terre. Si, si vraiment, en tout cas, telle fut mon impression objective. Nez à nez avec le plus beau cul du monde, le monde autour disparut. La jolie femme, assise en face de moi, lisant Soumission de Houellebecq, l’odeur de transpiration de l’ado à ma gauche, les fichus mails de mon associé, tout tomba d’un seul coup dans une trappe, me laissant seul avec mes pensées, et avec un pur objet de désir.
    
    La fille portait ce lundi un leggings blanc dont le tissu excessivement fin laissait transparaître le rose de la peau. Alors qu’un bref examen eut suffi à se convaincre de son absence, je m’attardais longuement, et vainement à chercher la démarcation du string. Ainsi penché en avant, coudes sur les genoux, j’étais positionné de telle manière que mon ...
    ... visage faisait face à la raie des fesses, qu’il m’aurait suffi de me pencher un tout petit peu pour y plonger la figure, qu’il me semblait sentir sa chaleur contre mes joues. Ma fascination était telle qu’alors que je m’obligeais d’ordinaire à une discrétion conforme à la décence, j’oubliais cette fois-ci de faire semblant de m’intéresser à autre chose.
    
    Si bien que je ne m’aperçus qu’après un temps infini que la jolie jeune lectrice de Houellebecq me foudroyait du regard, comme s’il lui fut donné de voir le diable. Bien entendu, j’éprouvai instantanément un sentiment de honte et me relevai, mais renonçais à tenter de prendre une contenance. Je me contentai de hausser les épaules et les sourcils en lui souriant. Elle grimaça, secoua la tête et se leva pour descendre à sa station.
    
    L’ado puant avait peut-être des espèces d’œillères virtuelles, en tout cas, il semblait absolument indifférent à tout ce qui se passait autour de lui. Personne d’autre ne semblait diriger son attention par ici, si bien que je repris presque tout de suite ma position, coude sur les genoux, m’abîmant sans retenue dans ma contemplation.
    
    Peu après, le train aborda une série d’aiguillages qui le secouèrent latéralement. C’est ainsi que l’extrême proximité entre mon visage et le cul conduisit mon nez à toucher brièvement la fesse droite de la fille. Je craignais que le contact rompe le charme, mais cela ne sembla pas la gêner. Au contraire, il me sembla qu’elle se cambra, approchant encore un peu plus. ...