1. Cet homme


    Datte: 06/08/2018, Catégories: fh, telnet, fsoumise, hdomine, strip, vidéox, photofilm, pénétratio, fsodo, coprolalie, sm, gifle, fouetfesse, confession, regrets, fsoumisah, Auteur: Ponderosa, Source: Revebebe

    ... pour que ça lui suffise. T’as vu comme elle gémit ? C’est franchement dégueulasse, ça me répugne. Termine-la, moi je vais prendre un verre. »
    — Exactement. Et vous me claqueriez les fesses avant de partir. J’aimerais aussi que ça vous excite et qu’après qu’il ait joui sur moi, vous veniez avoir votre part.
    — Je me déchaînerais sur toi et te laisserais en plan.
    — J’adorerais… Vous vous caressez ?
    — Je me branle depuis tout à l’heure, sale conne, et n’emploie pas ce mot, ça te donne un air pudibond.
    
    Il devient agressif ce qui manque de me faire jouir. Le contraste entre sa voix douce et posée du début et ce concentré de perversion est saisissant. Je gémis sans m’en rendre compte.
    
    — Monsieur… j’aimerais aussi que vous m’enculiez.
    — Je t’utiliserai à ma guise de toute façon. Il faudrait d’ailleurs que tous tes orifices soient à ma disposition, n’importe quand.
    — J’espère juste être assez étroite pour vous, pour que vous ayez la sensation de me démonter le cul pour la première fois…
    — Tu me rends dingue. Je vais jouir.
    
    Mon explosion est sensationnelle, magistrale. Rarement je m’étais autant laissée aller. Des frissons parcourent mon corps me donnant l’impression d’être tombée sur mon âme-sœur sexuelle. Je n’ai qu’une envie : me blottir dans ses bras pendant qu’il me caresse les cheveux, tous deux le sourire aux lèvres du moment exceptionnel qu’on a passé. On reprend notre souffle petit à petit et c’est moi qui réentame la discussion.
    
    — C’était… très ...
    ... reposant.
    — Ça fait du bien de trouver quelqu’un avec qui on peut se lâcher vraiment. C’est rare, tu sais.
    — Je sais…
    — Comment te sens-tu ?
    — Comme dans un nuage de coton, la tête un peu ailleurs… Je te remercie en tout cas.
    
    Je souris béatement, comme une gamine.
    
    — Tu es adorable. Et ce sera avec plaisir que je te prendrai sous mon aile.
    — Oh… je rougis maintenant !
    
    Je l’entends rire. Nous nous lançons quelques banalités avant de se quitter, comme s’il était possible d’enchaîner sur quelque chose après ça. Malgré tout, je trouve que rien de ce que nous disons n’est prosaïque.
    
    — J’aimerais que tu t’endormes dans mes bras, sereinement.
    — Je le ferai avec plaisir…
    — Je t’embrasse fort.
    — Moi aussi…
    — On s’envoie des messages ?
    —(rires) Ça ne t’a pas suffi ?
    — Pour ne pas couper brutalement.
    — D’accord. Bonne nuit…
    — Bonne nuit ma belle.
    
    Quand je raccroche, il est 3 h 45. L’appel aura duré six heures. Tout de suite après, je reçois un sms :
    
    J’ai bien envie de répliquer qu’il joue un peu sa petite sangsue. Mais je ne lui réponds pas, d’une part parce que j’aimerais bien faire autre chose de ma nuit (comme dormir, accessoirement) et d’autre part, et non des moindres, je n’ai pas un forfait sms illimité. Je prends donc le temps de me brosser les dents, me mettre en pyjama, lorsque mon portable vibre de nouveau. Et pendant que le robinet coulait, il avait visiblement laissé trois autres messages :
    
    Et le dernier :
    
    Je lui explique donc brièvement les deux ...
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