1. Cet homme


    Datte: 06/08/2018, Catégories: fh, telnet, fsoumise, hdomine, strip, vidéox, photofilm, pénétratio, fsodo, coprolalie, sm, gifle, fouetfesse, confession, regrets, fsoumisah, Auteur: Ponderosa, Source: Revebebe

    ... pire que d’essayer des trucs et de n’avoir aucun répondant.
    — Pendant que tu « fais l’amour » ?
    — Non, que je baise. Le sexe est un vrai défouloir pour moi. Une façon de se lâcher totalement.
    — Comme je suis d’accord avec toi.
    — Sérieusement, tu as vraiment des gros seins ?
    —(rires) Oui. Du 95D.
    — Tu te les touches parfois ?
    
    J’aurais trouvé cette phrase ridicule si quelqu’un d’autre l’avait prononcée. Mais avec lui… sa voix… je suis comme envoûtée. Ayant déjà parlé très longtemps, on en était venu à ce moment dans la soirée où, exténués, on se dévoile un peu plus.
    
    — Pas vraiment en fait… Je ne trouve pas ça très excitant. Je préfère fantasmer sur quelqu’un me les touchant.
    
    Après un silence et sur un ton très doux, il déclare :
    
    — J’ai envie de te faire mal.
    
    Cette phrase me laisse abasourdie quelques secondes. Le sommeil embrume ma conscience et je ne distingue plus ce qui est réel de ce qui serait un songe. C’est dans cette atmosphère un peu vaporeuse que je réponds sans réfléchir :
    
    — J’ai envie que tu me fasses mal… Saad, je me caresse en pensant à toi, depuis samedi soir.
    — Je sais bien.
    — Et ça ne te dérange pas ?
    — Non. Tu m’excites.
    — Toi aussi… énormément…
    — Je suis sûr que tu es une vraie pute au lit.
    — C’est vrai… je n’ai pas de mal à me laisser aller et à jouer les aguicheuses quand l’ambiance est là…
    — Ne dis pas aguicheuse. Chienne. Tu es une chienne et tu joues les chiennes. Recommence ta phrase.
    
    Peut-être l’ignore-t-il (encore ...
    ... faut-il que ce soit possible) mais je me masturbe avec la main qui ne tient pas le téléphone depuis dix bonnes minutes.
    
    — Quand je suis dans l’humeur, je peux jouer ma grosse chienne pour arriver à me faire sauter.
    — Est-ce que tu sens cette emprise que j’ai sur toi ?
    — Bien sûr.
    — Je veux dire, depuis le début de nos conversations, même quand c’était sobre, tu as de plus en plus tendance à demander mon avis, à chercher mon aide parfois, pour des problèmes informatiques par exemple. Tu le ressens ça ?
    — … je crois, oui.
    — Ça te fait peur ?
    — Non. En fait, j’aime ça. J’aime sentir le joug de quelqu’un. Être la possession de quelqu’un, représenter sa protégée et, sexuellement, son objet. C’est très…
    — … agréable.
    — Voilà.
    — Tu sais, je ressens la même chose.
    
    Et d’un ton tout à fait calme et posé, il déclare :
    
    — Il faut que tu appartiennes à quelqu’un, Anne. Que tu sois dirigée par un Homme, avec un grand H.
    — Le mot appartenir est si beau, si profond…
    — Tu me fais bander.
    
    J’adore sa façon de couper la conversation, de dérouter, comme il le disait au début.
    
    — Je me caresse depuis tout à l’heure…
    — Je n’aime pas ce mot. Les petites chiennes dans ton genre se branlent, dis-le.
    — … je me branle depuis tout à l’heure.
    — Raconte-moi tes pires fantasmes. Raconte-les-moi jusqu’à ce que je te sente rougir.
    — En ce moment, j’imagine que je fais des strip-teases. Ou des danses sensuelles, mais ça devant plusieurs hommes ; à la fin je me caresse devant eux sans ...
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