1. Cet homme


    Datte: 06/08/2018, Catégories: fh, telnet, fsoumise, hdomine, strip, vidéox, photofilm, pénétratio, fsodo, coprolalie, sm, gifle, fouetfesse, confession, regrets, fsoumisah, Auteur: Ponderosa, Source: Revebebe

    ... nous mettons ensuite sous la couette et il s’endort paisiblement. Il est 14 h et je suis dans ses bras, au paradis malgré le contexte. Son odeur me berce et m’emmène au pays des rêves où avec plaisir, j’y rejoins un autre monde où il n’aurait jamais existé.
    
    Le réveil est difficile, comme un coup de poignard me ramenant à la dure réalité des événements. Lui dort toujours. Je me retourne pour essayer de retrouver mon bonheur onirique, simple et artificiel, quand je l’entends maugréer :
    
    — Tu m’as réveillé… Calme-toi un peu ou lève-toi, mais ne me réveille pas.
    
    J’ai envie de le gifler et surtout de fondre en larmes. Je déteste me voir comme ça, faible et impuissante face à mes sentiments. J’ai perdu tout contrôle de la situation, il n’y a rien que je puisse faire qui le rendrait heureux ou amoureux de moi à nouveau. Je décide de faire mon deuil maintenant, pour réduire les jours de tristesse et affronter l’évidence.
    
    Quand il se lève, nous nous activons un peu pour aller manger au macdal. Ce qui me fait penser au cadeau d’anniversaire qu’il voulait m’offrir. Décidément, passer à autre chose s’annonce difficile si je décide de tout ramener à lui. Je me montre souriante, agréable, tout en gardant cette impression de l’ennuyer prodigieusement. À la fin du repas, il me demande d’aller « chercher des capotes à la pharmacie ».
    
    — Tu y vas sans sous-vêtements. J’adore cette idée de fille qui monte à la capitale pour se faire tringler et qui est tellement en manque qu’elle ...
    ... va chercher elle-même les préservatifs.
    
    Cette pensée me plaît aussi. En revenant, il ne prend même pas le temps de me déshabiller pour me posséder ; à quatre pattes, il soulève ma jupe et s’introduit profondément en moi. À ma grande surprise il y arrive sans mal, je dégouline. Cet homme me fait un effet monstre, j’aimerais tant pouvoir lui appartenir corps et âme… Je file ensuite sous la douche pour me débarrasser de toutes les odeurs de fluides corporels divers et variés qui m’ont recouverte ces dernières 24 h. Mon image dans la glace me fait froid dans le dos ; j’ai l’air fatiguée, étourdie, et surtout je suis couverte de bleus. Mes seins et mes fesses ne sont plus que le reflet de l’œuvre d’un sadique se défoulant sur moi, et même si je sursaute au premier regard, la vue de ce corps maltraité me plaît. Sans m’en rendre compte, il m’a amené en une soirée là où personne n’avait su s’aventurer. Lorsque je sors de la salle de bain, il est assis sur son canapé et tape un article qu’il doit publier pour son travail. Les lunettes qu’il porte le rendent encore plus sage, et encore plus attirant à mes yeux. Je m’agenouille à ses pieds, enlace ses jambes et pose ma tête sur ses genoux pendant qu’il retire son ordinateur. Je lui susurre :
    
    — Merci pour ces heures de plaisir. C’est très fort pour moi.
    
    Il me caresse les cheveux et me demande si je veux venir dans ses bras. J’accepte volontiers. Nous regardons un film puis partons nous coucher, chastement.
    
    Le dernier jour que ...