1. La voluptueuse dégradation de Florence (2)


    Datte: 10/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... ses seins et ses fesses dans une espèce de cohue qui avec quelques transpositions eussent pu rappeler les premiers jours des soldes. L’avidité des jeunes hommes se manifestait sourdement, dans la pénombre. Florence qui se laissait faire, comme on se laisse ballotter dans les vagues.
    
    Elle fut conduite dans une classe et placée sur l’estrade puis invitée à se déshabiller. Les garçons eurent l’idée de s’installer au premier rang pendant l’effeuillage de leur prof de français.
    
    Flo obtempéra sans faire de manière, mais se dévêtit de manière un peu mécanique. Cela n’empêcha pas ses élèves de sortir leurs queues et de commencer à se branler. Quand elle fut en sous-vêtements, elle s’arrêta et resta bien droite dans on ensemble noir Aubade offert par son mari lors de la dernière Saint-Valentin. Bras le long du corps, elle regardait devant elle le même point imaginaire que la dernière fois, mais de manière moins désespérée.
    
    Les jeunes hommes la dévoraient des yeux, s’attardant sur les détails de la lingerie fine, respirant de plus en plus fort en s’astiquant, semblant attendre un signal.
    
    Djibril et Corentin se levèrent. Ce dernier demanda à Flo de bien vouloir s’allonger sur le dos sur le bureau, fesses vers la classe et de retirer sa culotte. A sa surprise, sa prof ne protesta pas plus que lorsqu’on lui avait demandé de se dévêtir. Elle se coucha sur le plateau du bureau et dans un geste gracieux, souleva son bassin pour ôter sa culotte, offrant sa chatte à la vue ...
    ... de tous. Ne sachant que faire de ses jambes, elle les replia au-dessus de son corps, ce qui serra la vulve en une fente étroite, mais révéla son trou du cul auréolé de brun.
    
    — Mettez ça Madame s’il vous plaît.
    
    Coco donna un bandeau de nylon à Florence qui le passa aussitôt autour de sa tête, devant ses yeux. Aussitôt, les smartphones surgirent et se mirent à filmer, ne laissant aux jeunes hommes, pour la suite, qu’une main de disponible.
    
    Djibril et coco saisirent chacun une cheville et ouvrirent aussi grand que possible les cuisses de leur professeur, jusqu’à former un V au centre duquel baillait sa chatte, déjà bien humide.
    
    — Messieurs, déclama Djibril, voici Madame C, prof de français au Lycée de L, qui va nous laisser la baiser comme on en a envie, parce que c’est aussi de ça dont elle a envie. T’es d’accord Madame ?
    
    Flo laissa échapper un timide oui.
    
    — Plus fort, tu dois dire que t’as envie qu’on te baise comme ça nous plaît et tant que ça nous plaît.
    
    — Vous pouvez me baiser comme vous voulez et tant que vous voulez.
    
    Tous les téléphones enregistrèrent sans difficulté cette réplique et les suivantes, qui sonnaient comme des engagements contractuels.
    
    — Tu te comporteras avec nous comme la dernière des putes.
    
    — Je me comporterai avec vous comme la dernière des putes.
    
    — Tu boiras notre foutre.
    
    — Je boirai votre foutre.
    
    — Tu nous lécheras le cul.
    
    — Je vous lécherai le cul.
    
    — Et... heu... Djibril se grattait la tête, à court ...
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