1. La voluptueuse dégradation de Florence (2)


    Datte: 10/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... avec des bons souvenirs et basta.
    
    — Basta ?
    
    — Oui, terminé, vraiment. A moins bien entendu que t’en redemandes, s’écria Djibril en souriant, mais autrement oui, promis, une fois et c’est tout et rien ne sera jamais diffusé.
    
    — D’accord.
    
    — D’accord ?
    
    Flo regarda enfin son interlocuteur, bien dans les yeux.
    
    — D’accord.
    
    — Super. Le mieux c’est qu’on se retrouve ici un soir après la fermeture. Personne viendra nous faire chier. T’as les clés de la baraque. Tu nous attendras à la grille et on viendra ici, dans ta classe. OK ?
    
    — OK.
    
    — J’ai pas à te dire de t’habiller sexy, t’es toujours habillée sexy, Madame, dit Djibril en approchant sa main de la joue de Flo, qui se laissa caresser. Encouragé par la docilité de sa prof, Djibril effleura ses lèvres et fit doucement entrer deux doigts dans sa bouche.
    
    Flo, involontairement, les suça.
    
    — Putain, fit le garçon, je me prendrais bien une petite avance là tout de suite. Il glissa sa main libre dans le corsage de Flo et en libéra un gros nichon qu’il se mit à pétrir sous les yeux de ses camarades, hypnotisés, qui n’osaient se joindre à lui.
    
    — Bon allez, s’écria-t-il soudain. Ça suffit les conneries. Demain soir ça te convient ?
    
    — Demain... heu, oui, dit Flo en rangeant son sein, oui, plus vite ce sera fait, mieux ça vaudra.
    
    Ce soir-là, en ouvrant aux garçons, Flo était très en beauté. Elle était restée au lycée en les attendant et avait profité du temps qui restait pour se rafraîchir, se ...
    ... remaquiller un peu. Grâce à un somnifère, elle avait bien dormi la nuit dernière et deux Xanax grignotés par petits bouts tout au long de la journée avaient contenu son angoisse dans des proportions acceptables, permettant même par moments à une forme d’excitation de s’installer.
    
    Ainsi, l’anticipation de ce moment fou, le plus fou de sa vie bourgeoise si bien rangée, avait été plus nuancée qu’elle n’aurait pu l’imaginer. Elle retrouvait en passant le rouge sur ses lèvres la même sensation qu’elle avait éprouvée agenouillée dans cette gloriole à attendre que des bites pointent vers elle. Une partie d’elle était éteinte, nécessairement éteinte.
    
    L’épouse modèle, la mère de famille étaient bien là pourtant, sous ses yeux, en train de se farder, mais ce n’était pas tout à fait la femme qu’elle connaissait. La femme dans le miroir tournait résolument le dos à ses valeurs habituelles, à ses réflexes de préservation sociale acquis depuis son plus jeune âge, se préparant à entrer dans ce que son imaginaire concevait comme une parenthèse, destinée à se refermer hermétiquement ensuite, comme le soir dernier à Pigalle...
    
    A 19h, Florence ouvrit la grille du lycée coté jardin. Ses cinq élèves qui se pressaient derrière entrèrent comme une vague et se mirent à la peloter avant qu’elle ait eu le temps de refermer. Corentin lui prit les clés des mains. Je m’en charge Madame.
    
    Elle n’avait jamais eu autant de mains sur elle. La pétrissant plus ou moins brutalement, les garçons se disputaient ...
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