La voluptueuse dégradation de Florence (2)
Datte: 10/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
Préambule: L’histoire qui suit met exclusivement en vedette des personnes majeures. Les lycéens dont il est question lors des scènes de sexe ont TOUJOURS plus de 18 ans.
Précédemment dans La voluptueuse dégradation de Florence : Madame C, prof de français, aboutit au terme d’une virée entre copines dans une cabine de gloriole à Pigalle. Elle est suivie à son insu par des élèves de son lycée qui l’ont croisée par hasard alors qu’ils fêtent l’anniversaire des 18 ans de l’un d’eux. Florence, bien éméchée, ne sachant à qui elle a affaire, se croyant anonyme, se lâche comme jamais. Ses élèves profitent largement de l’aubaine, filmant en douce leurs exploits.
De retour au lycée, Florence put vérifier un principe éducatif simple que sa formation de prof n’avait pourtant jamais énoncé : on ne peut correctement exercer sa mission pédagogique auprès d’élèves qui vous ont baisée par tous les trous.
Elle l’apprit à ses dépens en fin de matinée ce lundi, alors qu’elle délivrait aux terminales ES un cours sur La princesse de Clèves. Hantée par des pensées obscènes depuis son passage samedi par un glory-hole du fin fond de Pigalle, elle n’était pas tout à fait à ce qu’elle disait, débitant de manière mécanique son cours, indifférente à l’agitation de ses élèves, pourtant plus soutenue que d’habitude.
Au fond de la classe, Lèo, Kevin et Youssef, les 3 imbéciles titulaires avaient été rejoints par 2 intérimaires, Djibril et Corentin qui ne les fréquentaient d’ordinaire que dans ...
... les interclasses, voire à l’extérieur, mais les évitaient soigneusement pendant les cours. Les 5 garçons échangeaient leurs portables entre eux et rigolaient plus ou moins discrètement en jetant des coups d’œil vers leur prof de français, qui manifestement s’en foutait.
Elle fut cependant rappelée à son devoir de gardienne de la paix par Émilie, une petite blonde qui ne renonçait au premier rang qu’en cas de force majeure. La jeune fille leva la main pour indiquer en affectant une profonde lassitude qu’il lui était difficile de suivre dans ces conditions, accompagnant ses propos d’un geste vers l’arrière.
Interrompue dans son monologue, Florence prit conscience du problème : c’était effectivement le bordel au fond de la classe. Soupirant, elle se souleva de sa chaise, traversa la classe, contrariée surtout d’avoir été arrachée à sa rêverie par les 5 abrutis. Avant d’arriver à leur hauteur, elle s’était rendu compte que quelque chose clochait. Alors que normalement les portables disparaissaient à son approche, engloutis Dieu sait où, ils restaient bien en vue, et pire, ils continuaient de circuler entre les mains des grands ados.
— Je peux savoir ce que vous regardez messieurs ? Peut-être pourriez-vous en faire profiter toute la classe ?
Faire la maline en maniant le sarcasme fonctionnait en général assez bien, mais ce ne fut pas vraiment le cas en l’occurrence.
— J’sais pas Madame, peut-être bien, oui... Qu’est-ce que vous en dites ?
Djibril tourna vers elle ...