1. La voluptueuse dégradation de Florence (2)


    Datte: 10/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... l’écran où, en dépit de la distorsion des traits induits par la performance, on reconnaissait incontestablement Florence en train d’avaler avec gourmandise une bite noire bien épaisse, allant et venant dans un mouvement se répétant sans fin.
    
    — C’est un GIF. On en a plein comme ça.
    
    Il prit des mains le portable de Léo où l’on voyait la prof aspirer l’air dans une attitude extatique tout en prenant une queue dans le cul, encore et encore.
    
    — C’est cool hein ?
    
    Florence, sidérée, ne pouvait quitter les yeux de l’écran que le jeune homme lui présentait. Elle n’eut pas été plus surprise si une explosion nucléaire avait balayé la classe sous ses yeux, ni plus livide, ni plus désemparée.
    
    — Alors m’dame, on fait quoi, on montre ça à tout le monde ? Vous croyez que ça peut intéresser ?
    
    — Non ! Elle avait crié sans s’en rendre compte, provoquant la surprise de tous les élèves à l’exception des 5 larrons qui se marraient de plus belle.
    
    — Okayyyyy, vous énervez pas comme ça Madame. Vous devriez revenir à votre bureau et poursuivre votre cours tranquillement. On parlera de tout ça après hein ?
    
    A la surprise de la classe, Madame C, prof compétente et respectée regagna piteusement sa place et poursuivit là où elle en était restée, ânonnant le reste du cours d’une voix blanche comme son visage par ailleurs vide de toute expression. Comprenant qu’elle avait vu la Méduse, personne n’osa plus lui faire de remarque. Le chahut au fond couvrait sa voix, mais même Émilie, ...
    ... consciente d’avoir en face d’elle une femme en état de choc, renonça à s’en plaindre.
    
    Quand son calvaire se termina, tout le monde quitta la salle, à l’exception des 5 garçons qui depuis un petit moment avaient rangé leurs smartphones et semblaient attendre, plus ou moins tendus d’être tranquille avec Flo. Cette dernière, immobile derrière son bureau, attendait en regardant devant elle, comme un condamné à mort sur sa potence.
    
    Quand les derniers élèves furent partis, les cinq du fond se levèrent en même temps. Deux d’entre eux, dont la stupidité le disputait à la fourberie selon Flo, se précipitèrent littéralement sur elle, renversant même quelques chaises au passage.
    
    Ils coururent sur l’estrade et lui attrapèrent presque simultanément un sein chacun.
    
    — J’ai gagné, s’écria Léo ! C’est moi le premier homme à avoir touché les nichons de c’te pute de Madame C à son bureau.
    
    — Mais non gros bâtard, c’est moi ! cria Kevin. Madame, vas-y, dis-nous c’est qui qui t’a touché les meules le premier.
    
    Mais Flo, toujours réfugiée dans son état de sidération, ne pouvait trancher. Djibril saisit les garçons par les oreilles et les souleva presque.
    
    — Sans déconner, c’est à se demander qui est le plus con des deux. Je sais pas ce qui me retient de vous arracher les feuilles.
    
    — Arrèèèèèète, gémit Léo.
    
    — Stooop, supplia Kevin.
    
    — OK, alors voilà. Maintenant vous allez être bien sage, vous allez ranger vos hormones de semi-puceaux dans leurs petites sacoches et vous allez ...
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