1. Les Contes de Perpornault (1)


    Datte: 09/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Mais ce n’était pas le cas au XVII° siècle ! Revenons à l’adulte ! Exigeons des gros sexes !
    
    — Oui ! Oui ! s’exclamèrent les autres ! Et des grosses couilles !
    
    — Et du jus à gogo !
    
    — Ouiiii !
    
    — Et pourquoi des princesses ? On pourrait pas des fois s’enfiler entre nous ?
    
    — Oh, oh ! Doucement. Faudrait pas généraliser non plus... on doit pouvoir ouvrir la possibilité à ceux qui veulent bien sûr... mais il y a des thématiques plus urgentes.
    
    — C’est évident.
    
    Bref, nos compères avaient de nombreux dossiers en suspens et entendaient bien être écoutés. Les négociations furent tendues. On repartit avec des propositions qui seraient examinées par la base, et on se donnait rendez-vous pour une autre table ronde dans une semaine.
    
    Sur le chemin du retour, on pesait les avancées.
    
    — Attendez les gars, j’vais pisser ! dit C.
    
    — OK. On t’attend.
    
    — Eh, les gars, v’nez voir !
    
    — Quoi ?
    
    — Raboulez, j’vous dis !
    
    Les princes descendirent de leurs chevaux et vinrent rejoindre leur pote.
    
    — Regardez !
    
    — Quoi ? Ta bite ?
    
    — Oui.
    
    — Tu nous as fait venir pour qu’on mate ta bite ? Ben... c’est une bite !
    
    — Oui, mais avant, elle n’était ni aussi grosse ni aussi touffue. Je crois qu’on a quand même obtenu quelque chose d’essentiel.
    
    — T’as été augmenté de combien ?
    
    — Je dirais 50 %... et vous ?
    
    Les autres baissèrent leurs frocs. Chacun constata des progrès. On se congratula, on s’extasia, mais D doucha un peu l’ambiance.
    
    — Doucement les ...
    ... gars. C’est pas parce que l’on a des corps de mâles maintenant qu’il faut s’endormir. Tenons fermes sur les autres revendications. S’ils croient qu’il suffit d’avoir un gros sexe pour calmer le mouvement, ils se trompent.
    
    Il y eut débat entre les modérés et les plus déterminés. Certains se seraient bien contentés de cela de peur de tout perdre par intransigeance.
    
    Cependant, chacun profita de cette pause bienvenue pour pisser à son tour.
    
    — Dites les gars, vous trouvez pas que c’est bizarre ici ?
    
    — Quoi ?
    
    — Toutes ces ronces infranchissables... et ces arbres...
    
    — Et là-bas, vous voyez ces tours ?
    
    — Ça, c’est sûrement quelque chose pour nous, une mission ou un truc comme ça.
    
    — Allons-y !
    
    Ils se frayèrent donc un chemin au milieu des ronces et des arbres qui se refermaient sur eux dès leur passage.
    
    — Personne n’a entendu parler d’une "belle au bois dormant".
    
    — Ça me dit un truc... ma grand-mère en parlait. Une meuf canon, endormie pour cent ans.
    
    — Ouais, c’est ça...
    
    Tout était délabré dans ce château, sauf une porte, comme neuve, derrière laquelle montait un escalier en colimaçon, propre, qui débouchait sur la chambre de la princesse.
    
    — Wouah, la meuf !
    
    — Faut reconnaître ! Des fois, ils exagèrent en disant qu’elle est bien roulée, mais celle-là, c’est vraiment la plus belle qu’on eût su voir !
    
    — C’est clair. Puis elle a tout ce qu’il faut où il faut.
    
    Les gars s’approchèrent du lit, en extase.
    
    — Eh, tu fais quoi, toi ?
    
    — Ben, ...
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