Les Contes de Perpornault (1)
Datte: 09/11/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... s’ils ne me l’ont pas vérolée. Donc, j’estime que j’ai droit à un lot de compensation.
Ils se mirent tous, du coup à envisager leurs possibilités d’avenir.
— J’ai bien un truc à vous proposer, dit C.
— Vas-y.
— Moi, elle me plaît trop. J’ai vraiment envie de l’épouser pour pouvoir la mettre tous les jours. Alors je vous propose de la réveiller, et dès que je l’aurais fait, je prétexte que vous êtes tous ses sauveurs et qu’elle peut bien vous baiser tous pour vous remercier. Elle ne pourra pas refuser. Chacun la tire, et ensuite, vos me la laissez !
— C’est bon pour moi ! dit E.
— Pour moi aussi.
Le prince A hésita un petit peu.
— Au cas où je tomberais nettement moins bien dans mon conte... tu nous laisseras revenir en copains ?
— Pas de problème pour moi... mais seulement si elle voudra. Tu as intérêt à être très persuasif.
Comme on s’était mis d’accord, on se mit à poil directement, trop heureux de pouvoir tester le nouvel outillage.
— Attends avant de l’embrasser C ! On peut la déshabiller d’abord.
Et ils la mirent à poil.
— Putain, vous avez vu ces nichons ! Mate le truc.
— Et sa taille, comme elle est fine.
— La chatte. Remarquez-moi ce minou tout blond et les lèvres bien roses.
— Tournez-la qu’on lui voit le cul !
Après l’avoir bien regardée et palpée sous tous les angles, et bandant comme des sourds, ils la remirent sur le dos et son prince s’assit à côté. Il se pencha sur elle pour l’embrasser, de sorte qu’on ne ...
... pouvait plus voir leurs visages.
Au bout d’un moment, elle parut s’animer, puis commença à bouger alors que la tête de C s’agitait bougrement, preuve qu’il lui roulait une pelle fantastique.
Puis elle écarta lentement ses jambes et passa son bras gauche sur les épaules de son mari.
Elle ne pouvait pas encore voir les autres comparses, car ils étaient collés l’un contre l’autre, derrière l’homme qui la tirait... du sommeil pour commencer.
— Tu as bien dormi ma chérie ?
— Oui mon prince charmant.
— J’ai envie de toi.
— Moi aussi.
Il se recula pour lui sucer les seins.
— Oh ! fit-elle en rougissant. Qui sont ces gens ?
— Des amis qui m’ont aidé à venir te délivrer.
— Mais, il n’était pas prévu que tu sois seul ?
— Tu sais, en 100 ans, il s’en passe des choses.
— C’est quand même un peu gênant... Ils nous regardent.
— Suce-moi, tu ne les verras plus.
Et il lui présenta son zob.
— OOOOOh...
Comme elle le suçait, les autres approchèrent et commencèrent à la caresser.
— Chéri ! Il y en a un qui m’a touchée !
— Tu leur dois bien ça ! Ils m’ont filé un tel coup de main que ça vaut bien un p’tit coup de bite !
— Ah bon, tu es sûr ?
— Oui. Je compte sur toi mon amour pour te montrer très reconnaissante.
— Si tu le veux...
— Oui, je le veux. Ces messieurs sont des gentlemen. Laisse-toi faire. Prends les bites qui se présentent.
Dès lors, ses mains furent toujours occupées et elle avait toujours un doigt dans la chatte ou ...