1. Un jeune homme à la capitale (5)


    Datte: 07/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... bien que tu éjacules vite. Dans ces endroits, il faut être rapide. J’appelle ça un « quicky ». Pas de préliminaires : un petit coup rapide. Pour faire plaisir aux amis, ajouta-t-elle en me caressant la tête.
    
    Elle était devant moi, debout. J’étais toujours assis et j’en profitais pour appuyer ma tête contre son ventre. Puis dans un mouvement incontrôlé, je relevais le devant de sa robe et enfouis ma tête entre ses cuisses. Je déposai un baiser sur mon sexe dont l’odeur m’enivra.
    
    Je pensais être dégouté, mais j’aurais pu la lécher si nous avions été dans un endroit moins exposé.
    
    Elle glissa sa main sous mon menton et me força à me relever.
    
    — Et si nous rentrions nous faire une petite dinette. Tu dois avoir faim et tu as mérité de reprendre des forces. Demain, zou... A l’usine...
    
    Nous passâmes la soirée en cuisine où j’aidais autant que faire se peut ma tante à préparer le dîner. Je m’attendais à un repas léger, voire frugal puisque nous étions que tous les deux. Mais Nattoue avait raison, ma tante était un cordon-bleu. Et elle aimait cuisiner. Tout en préparant ses plats, elle entretenait la conversation qui tournait une fois de plus sur les hommes. Et j’essayais de l’aiguiller sur le côté le plus excitant de la relation homme femme ; le sexe. Mais si ma tante m’avait démontré dans l’après-midi ses talents de manipulatrice, elle me montra également qu’elle ne se laissait pas manipuler.
    
    — Ma tante, nous aurions pu nous contenter de quelque chose de léger.
    
    — ...
    ... Après tes efforts cet après-midi, tu as besoin de reprendre des forces. Nous allons nous préparer des coquilles St Jacques flambées au cognac en entrée et des filets mignons aux morilles.
    
    — Vous avez toujours été aussi intéressée par la cuisine et le sexe, ma tante ?
    
    — Pour retenir les hommes, il n’y a que la queue mon neveu. La leur et celle des casseroles. Cela tombe bien, j’aime les deux...
    
    — Mon oncle a dû être un homme heureux.
    
    — Je pense qu’il a eu une vie plus riche au niveau culinaire et amoureuse que professionnelle. Son travail, qu’il aimait, l’a prématurément usée, au point qu’à la fin, il me fallait déployer des trésors d’imagination pour qu’il entre en érection. Cela m’a donné le goût des expériences hors du commun. Ta mère, qui a dû critiquer mon attitude avec sa morale de grenouille de bénitier, ne s’est jamais rendu compte que beaucoup de ce que j’ai fait a été dicté par ton oncle qui en avait besoin pour prendre son plaisir.
    
    Je sentais de la tristesse dans sa voix. Elle savait qu’elle était considérée dans la famille comme une femme légère alors qu’elle avait surtout été une femme aimante.
    
    — je suis sûr, ma tante, que mon oncle a été un homme comblé.
    
    — Tu es gentil. Tu vois, à force d’expériences originales, j’ai fini par y prendre goût. Maintenant, j’ai décidé de ne plus me laisser influencer par les préjugés et la bêtise et de vivre pleinement ma vie. Les hommes aiment mon corps, j’aime les hommes. Pourquoi se poser plus de questions ? ...