1. Un jeune homme à la capitale (5)


    Datte: 07/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    Je dois avouer que j’étais impressionné par son habileté de manipulatrice. Nous étions toujours enlacés, une de mes mains posée sur ses fesses. Malgré nos activités post sieste, je sentis monter lentement le désir.
    
    — Mais pourquoi n’avez-vous pas mis de culotte, vous ne pouviez pas prévoir cette rencontre ?
    
    — Parce que c’est agréable et excitant. Mets ton doigt sur mon sexe. Tu sens comme cela m’a excitée. J’aime ne pas porter de culotte lorsque c’est possible. Et puis c’est plus facile ainsi.
    
    — Qu’est-ce qui est plus facile ?
    
    — Regarde, allons nous assoir sur ce banc.
    
    Elle m’entraîna vers un banc public, un peu à l’écart, à l’ombre des arbres. J’étais à peine assis qu’elle ouvrit ma braguette et sortit mon sexe. Elle se pencha et le prit dans sa bouche alors qu’affolé, je jetais des coups d’œil autour de moi. Mais des arbustes nous protégeaient partiellement de la vue des rares promeneurs. De plus, comment aurais-je pu résister à la fellation que m’administrait ma tante ?
    
    Lorsqu’elle me jugea prêt, elle se releva, se campa devant moi, me tournant le dos et observa les environs. Personne ne nous prêtait attention. Les rares personnes encore sur le chemin de halage étaient des pécheurs dont l’attention était focalisée sur le bouchon rouge et blanc qui dansait sur l’eau.
    
    Elle releva légèrement sa jupe, me présentant son joli postérieur, et dans un mouvement gracieux où l’on sentait une certaine expérience, elle se pencha, abaissant son fessier juste ...
    ... au-dessus de ma verge érigée qu’elle saisit et guida à l’entrée de son sexe inondé. Puis elle s’empala en remuant les hanches. Cela se fit de manière si naturelle qu’un observateur aurait dû être très attentif pour se rendre compte de ce que ma tante avait fait. Cela n’avait duré que quelques secondes.
    
    Elle était maintenant assise sur mes cuisses, sa robe cachant le lien qui nous unissait.
    
    — Voilà pourquoi c’est plus facile. Pas de culotte à ôter. Une braguette à ouvrir et le tour est joué. Regarde, de loin on nous croirait sagement assis. Fais coucou au canot qui passe, dit-elle en agitant sa main. Les gens dans le canot lui renvoyèrent son salut. Je trouvais cela follement excitant. Je sentais la chaleur de son sexe autour de ma queue. J’appréciais la douceur de cette gaine onctueuse qui enserrait ma queue. Je me moquais du canot, et même, je me moquais des promeneurs.
    
    Elle se mit à bouger le bassin dans un petit mouvement rotatif. On eut dit une danse du ventre au ralenti. De temps en temps, elle se redressait puis se laissait retomber, m’arrachant un cri de bonheur. Malgré la fatigue, le plaisir ne tarda pas à me submerger et je me répandis dans sa chatte si accueillante.
    
    Elle s’immobilisa, alanguie, alors que je finissais de me vider. Puis tante Brigitte se releva et profitant de l’absence de promeneur, elle se pencha et reprit mon sexe dans sa bouche. Lorsqu’elle le remit en place dans mon slip, il était propre comme un sou neuf.
    
    — Tu vois, cette fois-ci c’était ...
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