Thaïlande
Datte: 06/11/2021,
Catégories:
fh,
ff,
cadeau,
vacances,
Oral
confession,
occasion,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... plus, plus. J’ai été une élève attentive, pas particulièrement douée, mais à force d’obstination j’ai réussi à retenir de très nombreuses fois mon mari de me labourer en lui vidant les couilles avec une fellation réussie. Et la plupart du temps il se faisait avoir, même si son envie était de me bourrer comme il doit bourrer et ramoner sa pute actuelle.
— Oh, Rachelle… Oui, continuez… C’est bon… Si j’avais su…
Mais oui, mon coquin si tu avais su que celle à qui tu tenais compagnie savait pomper comme cela, tu aurais fait quoi ? S’arranger pour que le groupe avance et te faire sucer. Ou bien, derrière la hutte de cette tribu soi-disant encore sauvage dans le nord du pays ? Impossible, les enfants mendiants ne nous quittaient pas. Me rejoindre dans ma chambre ? Impossible avec ma colocataire. Alors ?
— Oui, oui. Oh, mon Dieu, vous me gobez…
Mon regard croise le sien. Je le pompe et ma main flatte ses couilles.
— Vous aimez ça ? Oui, c’est ça… Pomper un mec, vous aimez… Oh, quelle coquine vous faites… Ahhhhhh… C’est ça, vous aimer la bite… On voit bien que ça vous plaît… Cochonne… salope…
Que voit-il dans mon regard ?
— Oh, pardon, je ne voulais pas… Rachelle… Ahhhhh…
J’abandonne sa bite gluante. Croit-il qu’il m’a choquée ? Mais non, au contraire, j’apprécie d’être rabaissée ainsi, comparée aux femmes qui n’ont pas honte de leurs envies. Fatiguée d’être considérée comme la femme exemplaire, la mère de famille honnête, l’épouse que l’on trahit alors ...
... qu’on ne fait même pas l’effort de la satisfaire.
Mais c’est ta faute, me susurre la petite voix.Il fallait le dire, le demander, en tant d’années tu n’as même pas osé parler à ton mari de tes envies. Peut-être qu’il aurait apprécié. Alors ça suffit. Tu es libre, laisse-toi aller, dis-lui ce dont tu as envie, que d’entendre ces mots ont déclenché des frissons.
— Non, continuez, j’aime bien… Ça m’excite.
Voilà c’est dit. Tu vois ce n’est pas si difficile…
Je le reprends en bouche. Étrangement sa bite a un goût différent. Il a aussi posé sa main sur ma tête et appuie avec.
— Allez, prends-moi tout… Traînée…
Il me bloque, je vais étouffer.
— Salope.
Il me relâche. Je reprends ma respiration.
— Allez, bouffe-moi les couilles… Oui ta langue sur mon cul…
Ma main passe sous ma culotte. Je suis toute mouillée. Je suis excitée. Il aura suffi de quelques mots !
— Pute !
Sa main ne fait que m’accompagner. Elle n’a pas besoin de me forcer, mais c’est un signe de possession.
— Chienne.
Je me caresse. C’est bon. Ma bouche remue avec délice la salive que je libère.
— Bouffeuse de bites.
Je pousse la porte de l’anus. Il ne résiste pas beaucoup.
— Attention, je viens…
Pas la peine de me prévenir, c’est comme si je pouvais voir ton sperme qui dévale comme un torrent. Tu vas me remplir la bouche comme la jeune… Non, elle n’a pas pu… Sécurité… D’ailleurs elle a dû le sucer avec une capote pour éviter…
Danger ! Danger ! Tu ne le connais pas ...