1. Thaïlande


    Datte: 06/11/2021, Catégories: fh, ff, cadeau, vacances, Oral confession, occasion, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... rentré depuis un moment. Sa femme doit l’attendre. Quand il va la voir, va-t-elle lui raconter sa soirée ? Si j’ai bien compris, ils ne se cachent rien. Va-t-elle lui donner des détails ou juste un « J’ai choisi body-body et finition par un homme » ou bien des détails… Et dans ce cas est-ce que cela l’excite, Lui. Et Elle, est-ce que cela l’excite de raconter à son mari qu’un masseur l’a possédée, ou alors juste caressée comme la masseuse la fait avec moi ?
    
    On est devant ma porte. On va se séparer. Tout cela m’a énervée… énervée, non excitée, d’une excitation purement fantasmatique.
    
    — Entrez une minute, je voudrais vous montrer quelque chose.
    — Il est tard.
    — Juste une minute… S’il vous plaît.
    
    C’est fou, il faut presque que je le supplie. Tant pis, au risque de passer pour une salope, je veux lui laisser un souvenir. Nous entrons. La porte se referme sur nous. Nous n’allons pas plus loin que l’entrée.
    
    — Je voulais vous remercier pour ce charmant cadeau. Mais moi aussi je peux faire une « finition ».
    
    Et aussitôt je me baisse et attrape sa ceinture. Je la détache, je tire sur le zip.
    
    — Rachelle, voyons !
    
    Il proteste, mais si peu ! Il ne m’empêche pas de descendre son pantalon, puis son slip. Sa verge apparaît. Aussitôt je la saisis dans ma main. Elle est au repos. Il n’y pas bien longtemps, une femme a dû bien s’en occuper. J’approche ma bouche. Elle sent bon, reste des huiles et parfums. Je la prends tout entière et lui fait de ma gorge un écrin ou ...
    ... elle se développe rapidement. J’aime la sentir grossir, se dilater, chercher assez de place pour devenir un bâton à la fois souple et rigide.
    
    Voilà, il bande. Je la libère et elle m’apparaît dans toute sa splendeur. J’ai beaucoup bu, mais pas au point de ne pas pouvoir me souvenir du braquemart de mon mari. Celle-ci est plus élégante, délicate, à peine veinée, le gland rose se détachant bien de la hampe.
    
    Je lève la tête. Je croise son regard. Ses yeux brillent et probablement que les miens lui transmettent toute ma perversité, mon vice, mon envie, ma détermination.
    
    Alors je le suce. Je le pompe. Il m’est facile de le prendre tout en bouche. À côté de mon ex, c’est facile. Toute mon expérience est utilisée. Je veux qu’il garde ce souvenir de moi. Je vais le faire jouir et il va regretter de ne pas avoir voulu me séduire.
    
    Je me souviens de mes premières fellations. Avec mes copains de l’époque, ils avaient juste envie que je les suce pour venir me prendre après. Peu savaient ce qui fait plaisir aux femmes. Je faisais le service minimum cherchant celui qui me posséderait enfin en me faisant jouir. Comme je l’ai dit, ç’a été pire avec mon mari, mais je l’aimais. Je me souviens comme si c’était hier des conseils d’une fellation réussis par Eva Mazone dont la vidéo n’est malheureusement plus accessible. Respirer, saliver, beaucoup saliver, ne pas hésiter à s’entraîner avec un gode ou même tout ce qui a la bonne forme, progresser aussi en prenant plus gros, plus profond, ...