Thaïlande
Datte: 06/11/2021,
Catégories:
fh,
ff,
cadeau,
vacances,
Oral
confession,
occasion,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
C’est mon premier voyage en célibataire, enfin je devrais dire en femme divorcée. J’ai beaucoup voyagé avec mon mari, avec mes enfants, soit en « Individuel » soit en « Organisé » et cela s’était toujours bien passé. Mais là, c’est différent. Je suis tombée sur un groupe déjà constitué, déjà amis, déjà complices et, à part moi, il y a juste un autre couple de jeunes.
Oh, je ne suis pas mise à l’écart. Ma compagne de chambre est charmante et bien élevée, mais dès le petit-déjeuner elle va rejoindre sa troupe et moi je reste seule avec le couple. Pourtant le pays est magnifique, le voyage très bien organisé, mais il manque la petite touche conviviale qui fait que souvent on se fait des connaissances. J’avais mis ce problème de côté, profitant au mieux de ce pays délicieux qu’est la Thaïlande, sa nature, ses monuments, ses habitants et leur joie de vivre.
Pourtant au fil des jours, un homme du groupe vient me tenir compagnie. Il est à côté de moi pendant les visites, puis dans le bus, parfois au repas formant ainsi avec le couple une vraie tablée. Je ne suis pas aveugle, je vois bien que les autres sourient de cette approche. Mais si cet homme, Xavier, me drague, comme ont l’air de le penser ses amis, c’est une drague des plus timides. C’est juste un compagnon, rien de plus, rien d’équivoque, rien de graveleux ! Il est assez bel homme, probablement la cinquantaine avancée. Mais, même si sa drague n’est pas évidente, elle me fait du bien. Après le départ de mon mari, ...
... j’ai eu un moment difficile, alors qu’un homme puisse quitter son groupe pour venir, ne serait-ce que pour me tenir compagnie, me paraissait comme un baume sur ma douleur.
J’étais mariée, mère de deux enfants, assez grands maintenant pour se débrouiller si je ne suis pas là. J’aimais mon mari et je sais que lui m’aimait aussi. J’ai vécu des heures délicieuses avec lui. Mais au fil des années, surtout après la naissance de mon deuxième enfant, j’ai moins apprécié qu’il me fasse l’amour. Mon mari est comme on dit « bien monté ». Je le sais, car même si je n’ai pas couché avec des dizaines d’hommes avant lui, j’étais loin d’être une gamine innocente. Je le savais, mais lui aussi, évidemment, et il en faisant une fierté. Il aimait me posséder avec son bel engin qui en plus avait toujours une dureté de fer. Il se faisait une idée de « mâle » qui, pour satisfaire son épouse, devait la bourrer longuement, variant les positions, se retenant le plus longtemps possible, pensant que plus cela dure, plus sa femme allait aimer et jouir. Il ne négligeait pas vraiment les préliminaires. Il ne me prenait pas « à sec ou à froid », mais me caressait et me lutinait, mais rarement assez longtemps pour que j’aie ma jouissance. Alors je simulais, mais même lorsque je poussais des « oh ! C’est bon ! Je viens ! Je viens ! », il continuait son labeur à n’en plus finir et me gratifiait, après s’être vidé en moi, d’une « C’était bon, hein ! Tu as bien joui ? » Et je répondais « Oui » sans vouloir le ...