1. Aide à domicile (1)


    Datte: 05/11/2021, Catégories: fh, hplusag, campagne, amour, Oral pénétratio, fsodo, portrait, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... refuser, d’autant qu’il avait encore la sensation de sa bouche sur son zob. Il changea les vaches de pré, nettoya l’étable et en profita pour pailler les zones vides du potager. Paille et fumier allaient décomposer lentement tout l’hiver en protégeant et nourrissant la terre. Quand il rentra, il alla se laver, Mélanie s’activait toujours sur ses parquets et la maison sentait bon la cire. Il la regarda longuement avant qu’elle ne s’en aperçoive. Progressant accroupie du fond de la chambre vers la porte, elle lui offrait une vue inédite sur son large postérieur, sa taille fine et son dos en V. Juste vêtue d’un leggins et d’un t-shirt, il regardait ses muscles jouer sous le tissu, tandis que deux larges auréoles de sueur marquaient ses dessous-de-bras. Sacrée bosseuse, cette fille. Et bien bâtie de surcroît. Une trique pas possible lui tendit la salopette, juste au moment où elle se retourna.
    
    — Ah vous êtes là ? Je ne vous avais pas entendu…
    — Ce que t’es belle…
    — Arrêtez, Gus, laissez tomber, je ne vous crois pas. Je suis une fille très ordinaire, un peu grosse depuis que vous m’engraissez. Justement, je nous ai prévu un peu de potage et de la terrine avec une salade. Allez donc faire chauffer la soupe, au lieu de raconter des bêtises. La casserole est sur le feu et j’ai presque fini…
    
    Il fit demi-tour à regret et descendit l’escalier. À mi-chemin, il se retourna et lança :
    
    — N’empêche que t’es rudement belle !
    
    Il l’entendit prendre une douche rapide et elle lui ...
    ... cria :
    
    — Je peux vous emprunter un t-shirt ? Le mien est à tordre…
    — Bien sûr, sers-toi dans l’armoire.
    
    Quand elle descendit, il eut un coup au cœur. Elle portait bien un de ses t-shirts, mais rien que ça, tous ses vêtements roulés en boule sous son bras.
    
    — Désolée, mais j’ai sué comme dans un sauna et mon leggins a les genoux marqués. Faut dire que les parquets n’avaient pas vu de cire depuis une éternité : ils ont bu comme des éponges.
    — Putain, mais… tu pourras pas rentrer comme ça, tu vas te geler.
    — Mais non, avec mon imperméable ça ira. Je serai convenable et assez protégée pour faire vingt mètres jusqu’à ma voiture… Ho-Ho ! Gus, revenez sur terre…
    — Hein ? Ouais… c’est que… quand un mort de faim voit un beau gâteau comme toi, il salive.
    — Gus, vous avez déjà eu une gourmandise ce matin. Vous n’allez pas me sauter dessus, tout de même.
    — Ah non, ça j’oserais pas. Mais, bon dieu, j’ai le sang qui bout !
    
    Eh oui, et quand elle bougeait c’était pire. Non seulement il voyait ses jambes pour la première fois jusqu’au raz des fesses, mais en plus le soutif devait avoir pris aussi la sueur, et ce qui se trémoussait sous le t-shirt était bien des seins en liberté. À peine plus bas que d’habitude, vibrant et pas ballottant donc fermes, bien écartés, bien drus et repoussant loin le coton. Gus renversa trois fois sa cuillère de potage, elle faisait mine de ne rien voir. Quand elle partit, elle lui dit qu’elle laverait son t-shirt et lui rapporterait la semaine ...
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