1. La morale d'Anon 04


    Datte: 03/11/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... chatouillait. Il râlait de plaisir, son souffle était irrégulier, fort, très fort et irrégulier. Elle se relevait, il la regardait, elle était plus belle que jamais à la lumière douce et dansantes des lampes à huile. Elle le chevauchait, la position était scabreuse, pratiquement interdite mais ils s'en moquaient, à ce moment ils s'en moquaient. Il relevait son bassin avec régularité, il sentait sa queue glisser en elle, puis il sentait le plaisir monter.
    
    Elle aussi manifestait un grand plaisir, elle relevait la tête en arrière et gémissait de plaisir. Il jouissait, elle hurlait, ils jouissaient. Elle se laissait retomber sur lui, il la prenait dans ses bras, la serrait fort et l'embrassait.
    
    Puis ils ne bougeaient plus. Chacun profitait simplement du contact de l'autre. C'est à ce moment que l'idée a germé dans la tête de Dauj. Il la voulait, il la voulait pour lui seul … Il l'aurait ! Il ne savait pas encore comment il s'y prendrait mais il le ferait et peu lui importait ce que diraient les gens.
    
    Un peu plus tard. Ramat se relevait, ouvrait la porte appelait puis la refermait. Quelques instants plus tard, on apportait un repas.
    
    Les deux amants soupaient. Dauj avait oublié sa mauvaise humeur, il avait oublié que ce soir là, chez lui le repas n'était pas servi. Ils partageaient le repas, chacun portait aux lèvres de l'autre les meilleurs morceaux qu'il avait sélectionné, ils s'embrassaient avec passion, puis le repas à peine terminé, ils se prenaient dans les bras ...
    ... l'un de l'autre.
    
    Là c'est Dauj qui prenait Ramat dans ses bras avec force, il était bien plus fort qu'elle. Elle aimait sentir cette force masculine, elle aimait se sentir faible et fragile dans les bras d'un homme qui pouvait la casser en deux mais qui malgré sa force ne lui faisait pas mal, ne lui faisait que du bien. Il la pénétrait avec force mais en faisant terriblement attention à la moindre de ses réaction. Il ne voulait voir que du plaisir sur son visage. C'est de la passion qu'elle lui renvoyait.
    
    Elle était allongée sur le dos, il était sur elle, la position devenait plus convenable, il se retirait, revenait puis se retirait sans fin. Il avait déjà joui aussi le plaisir mettait plus de temps à monter. Enfin pour lui, pour elle c'était autre chose, surtout qu'elle était amoureuse et que la moindre caresse la faisait réagir.
    
    Son corps était doux, ferme musclé mais doux et si ses mains était celle d'un paysan il savait faire preuve de douceur avec. Elle hurlait de plaisir, pourquoi se retenir dans cet endroit, elle hurlait au moment ou il jouissait de nouveau en elle.
    
    Les deux corps s'écroulaient l'un à côté de l'autre. Dauj avait l'impression que son cœur allait exploser. Comment allait-il demander cette déesse du plaisir en mariage.
    
    Il verrait ça plus tard.
    
    La semaine suivante ils se retrouvaient de nouveau, puis la semaine suivante encore … Matar ne se faisait pas payer pour ses services, cela aurait du être suspect mais, il était mordu, il tenait ...