La morale d'Anon 04
Datte: 03/11/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... lâché, il était mort dans ses bras. Le second s'était sauvé en courant. Et le troisième c'était le même que ce soir là. Elle était alors encore vierge, elle n'avait donc connu qu'un homme, qu'une seule fois. Et c'est lui qu'elle tenait dans ses bras. Elle se souvenait des conseils que lui avaient donnés les femmes habituées de l'auberge. C'est vrai qu'elle était tellement gentil que même ces dames l'avaient adoptée et la traitaient bien.
Avec douceur, en prenant bien son temps, elle approchait son visage du ventre de Dauj et en même temps elle laissait entrer sa queue de plus en plus profond. Il gémissait de plaisir. Il buvait son vin en la regardant faire, elle relevait les yeux pour observer ses réactions.
Elle devinait que sa coupe était vide, elle se relevait alors lui prenait la coupe des mains, l'embrassait, se glissait contre lui, tout contre et lui retirait sa tunique. Il avait mis la plus belle, celle qu'il réserve aux jours de fêtes. C'en était un, elle allait y veiller.
Elle ouvrait alors sa robe, mais c'est à peine si on voyait une différence tant elle était fine et tant la lumière était douce. Il n'y avait que quelques lampes à huile d'allumer. C'était suffisant pour ce qu'ils voulaient faire. Il la prenait dans ses bras. Il bandait et sa queue se relevait entre ses cuisses, entre les cuisses de Ramat je veux dire … Ils étaient intimement enlacés, il faisait maintenant très chaud.
Avec des mouvements lents de danse elle le conduisait au lit et ...
... c'est sans prévenir qu'elle le repoussait, il tombait sur le dos en rigolant. Elle plongeait alors sur sa queue, la prenait en entier dans sa bouche tout en lui caressant le corps. Il se tortillait dans ses bras, il gémissait et lui caressait le corps, les épaules, les cheveux.
Elle relevait la tête, il poussait un long gémissement de plaisir. Elle appuyait de nouveau son visage vers lui et son gémissement de plaisir se transformait en une véritable plainte. La main sur son torse, elle sentait son cœur qui battait fort et vite, tout comme le sien.
C'est toujours avec lenteur qu'elle relevait la tête et couvrait de baiser son ventre. Elle glissait sur lui, elle laissait ses sein le caresser et continuait à l'embrasser, et quelquefois de le mordiller, il poussait des petits cris de plaisir. Il ne se souvenait pas avoir jamais ressenti autant de plaisir. Elle arrivait à ses téton, il les sentait durcir, il sentait ses dents se refermer avec douceur et fermeté, il tremblait, il a cru mourir de plaisir.
Quand ses lèvres arrivaient sur les siennes, quand les visage se touchaient et que les yeux de l'un ne pouvaient plus voir que les yeux de l'autre, avec une main elle prenait sa queue le mettait en position puis s'empalait dessus avec douceur. Elle s'empalait et gémissait de plaisir. Elle avait cru ne jamais devenir une femme mais maintenant elle l'était, maintenant elle était comblée.
Ses seins s'écrasaient sur la poitrine de Dauj, si elle se relevait ses seins le ...