1. Les vieilles dames


    Datte: 01/11/2021, Catégories: 2couples, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, double, fsodo, Partouze / Groupe attache, totalsexe, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... virons couverts et photophores sur les buffets. De nos places, à quatre pattes sur la table, nous nous approchons à nous sentir le derrière… La queue, le clito frétillent projetant d’autres ombres géantes.
    
    — Cette table est enchantée, murmure Alban en me la mettant profonde…
    
    J’en roucoule un Hon-oui que Chéri interprète à sa façon, à la manière d’un garçon quoi.
    
    Jeudi midi, belle-maman libérée de ses obligations professionnelles vient déjeuner avec nous. Béatrice n’en croit pas ses yeux de ce qui arrive à son cher bambin. Je devine sa méfiance de savoir comment j’ai pu être favorisée à ce point. Que puis-je dire ? Je ne le sais pas non plus. Alban a compris aussi, tente de la rassurer :
    
    — Maman, la vieille dame sans héritier propriétaire des lieux voit en Caroline une personne digne de confiance. Laisserais-tu partir un bien familial à n’importe qui sauf si tu peux faire autrement ?
    
    Devant les immenses armoires, elle me propose :
    
    — Tu ne vas pas mettre ton linge directement sur le bois, j’ai ce qu’il faut. Avec une broderie devant, ça égaye la rigueur du meuble. Des broderies de grand-mère. Avec des draps en lin jamais servi. Ils vont être parfaits pour les dimensions de ces lits.
    
    Spontanément, elle offre ce qu’elle a gardé de sa grand-mère, c’est bon signe.
    
    — Merci, M’man. Il nous reste à bosser pour mériter cela.
    
    Est-elle rassurée, convaincue quand elle repart ?
    
    Le soir, au moment du entre chien et loup, vêtus de nos simples sandales, je tire ...
    ... Alban dans la cour, le jardin :
    
    — Tout ça pour nous, dis-je. Saurons-nous un jour pourquoi moi ? Ton explication est la seule logique. Tu sais quoi, il doit y avoir un lien entre mon patron du club, Hypoline et Yvonne. Et faut rajouter Suzy.
    
    Al sourit en haussant les épaules d’impuissance. Nous arrivons à un portique où il y a dû y avoir une balancelle accrochée, des rosiers grimpants en ont pris possession. Il secoue pour voir si ça tient.
    
    — C’est du costaud ! Caro chérie, des menottes… Prends position pour voir…
    — J’ai un fiancé pervers qui ne pense qu’à ça, ris-je en prenant la pose.
    — C’est faisable, bande-t-il grave.
    
    Je reste écartelée par d’imaginaires chaînes. Mes mains se cramponnent tout juste à la barre du dessus. Les siennes partent de mes seins pour musarder jusqu’à mon pubis, une remonte pour me pincer, l’autre me fend la raie, je gémis doucement en m’agitant le clito sur l’index… Je serre des dents quand une phalange me pénètre… Je ne peux plus tenir, la jouissance m’effondre à ses genoux pour une fellation au clair de lune…
    
    — Et si c’était toi qu’on menottait ! Pourquoi toujours les filles ?
    — Je ne dis pas non, je veux savoir ce que ça fait. Pourquoi les filles, je crois que le corps féminin est plus adapté pour recevoir les hommages plaisir que le masculin ? Dans les gênes, le masculin a besoin de dominer, le féminin de recevoir.
    — C’est pas idiot. On vérifiera…
    
    Le vendredi matin, Alban installe les chaînes suspendues pour les menottes. ...
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