1. Le laboratoire cybernétique clandestin


    Datte: 05/08/2018, Catégories: fh, prost, pénétratio, sf, policier, Auteur: Sextylo, Source: Revebebe

    ... ne dure que le temps d’une bonne baise.
    
    Le policier scruta les émotions de la fille. Il n’y avait aucune trace de mensonge. Uniquement de l’excitation, la même que celle d’un gosse devant un nouveau jouet. Il n’était pas sensé accepter l’ajout d’un programme non-officiel dans son ordinateur interne. 67 était néanmoins tenté. Il se foutait de plus en plus du règlement et de la CPD qui ne le jugeait pas à sa juste valeur. De plus, ses rapports sexuels lui apportaient de moins en moins de satisfaction. Il avait l’impression de trop maîtriser son corps et que la jouissance elle-même n’était qu’une information parmi tant d’autres. Ce programme lui permettrait peut-être de découvrir de nouvelles sensations.
    
    Il téléchargea le programme interdit et l’exécuta. Aussitôt une vague de chaleur l’envahit. La fille se pencha au-dessus de son corps nu et commença à lui caresser son torse musclé. Jamais une simple caresse ne lui avait fait autant d’effet. Il avait l’impression d’être touché par la déesse de l’amour en personne. Il sentit son sang affluer dans son pénis. Cette sensation était beaucoup plus forte que d’habitude. Cette fois il avait pleinement conscience de chaque petite augmentation volumique.
    
    La fille s’approcha un peu plus. La pointe de ses seins frôla la peau du flic qui frissonna de plaisir. Lorsqu’elle l’embrassa sensuellement sur la bouche, il crut mourir de bonheur. Elle le chevaucha et actionna à son tour le programme. D’une main tremblante, 67 lui caressa ...
    ... les seins. Ils lui semblèrent être la chose la plus douce au monde. Elle se frotta contre lui en gémissant, provocant à chaque passage une vague de chaleur et d’envie. Elle recula pour placer son sexe juste au-dessus de celui de son client. Elle l’empoigna et frotta doucement le gland contre ses lèvres humides et chaudes. 67 avait l’impression que son gland avait la taille d’un poing. Chaque frottement résonnait en lui. Il crut éjaculer au moment où elle s’empala sur lui mais ce n’était encore que le début.
    
    Les sensations qu’il éprouvait étaient comme des ondulations de plaisirs qui prenaient leur source dans son sexe, s’éparpillaient dans tout son corps puis « rebondissaient » comme des vagues contre le bord d’une piscine. Les ondes entraient en résonnance, ce qui amplifiait continuellement son plaisir. Il voulut savoir si sa partenaire ressentait la même chose mais lorsqu’il essaya d’accéder à son interface, les ondes se déphasèrent, perturbant ses sensations et son plaisir. Il débrancha sa connexion sans-fil et désactiva tous les programmes susceptibles de diminuer son plaisir. Les sensations s’amplifièrent à nouveau. Même les cris de jouissance de la fille résonnaient en lui comme l’écho plus aigu de ses propres cris. Il était perdu dans une dimension de plaisir. Ni le temps ni le monde extérieur n’avaient plus d’importance. La jouissance avait atteint un tel point qu’il se demanda s’il avait atteint le summum et était déjà en train d’éjaculer. Il put constater le ...