1. Le laboratoire cybernétique clandestin


    Datte: 05/08/2018, Catégories: fh, prost, pénétratio, sf, policier, Auteur: Sextylo, Source: Revebebe

    ... c’était un accident.
    — Il n’aurait pas pu y avoir pire accident ! Son ordinateur interne a grillé, pas moyen de soutirer la moindre information de son cadavre.
    — Le laboratoire clandestin a pu être démantelé…
    — J’en ai rien à foutre de son salon pour drogués du bulbe. C’était une partie infime de son réseau clandestin de chirurgie cybernétique. On aurait pu remonter la filière avec Wiliard et tu as tout fait foirer !
    
    Le matricule 67-439 se sentait injustement réprimé. La colère monta en lui. Il dut se retenir pour ne pas laisser transparaître son envie d’étrangler son patron. Pour se calmer, il commanda à son micro-ordinateur de lui administrer une légère dose d’endorphine.
    
    — Le rapport m’indique que tes doses quotidiennes d’adrénaline frôlent la limite autorisée. Tu es sur la mauvaise pente 67. Tu sais ce qui arrive aux cyberflics qui abusent des substances ?
    
    67 ne le savait que trop. Un de ses collègues avait piqué une crise en pleine opération. La CPD, l’ayant jugé incontrôlable, avait enclenché son processus d’autodestruction. Sa tête avait explosée à deux pas de 67, l’éclaboussant de sang et de morceaux de cervelle.
    
    Il n’avait pas envie de partir en cure. Il avait un autre moyen pour se détendre.
    
    ***
    
    La douche lui avait fait du bien. Les 90% de peau qui recouvrait son corps modifié s’étaient rafraîchis. Allongé sur le lit, il sentit un nouvel émetteur/récepteur entrer dans son périmètre radio. Sûrement la cyber-pute qu’il avait commandée, se dit-il ...
    ... en se levant pour déverrouiller la porte de son appartement. Les cyberflics n’étaient pas très appréciés de la gent féminine. C’est pourquoi le policier bionique faisait souvent appel aux services de ces femmes également munies d’un ordinateur interne.
    
    Lorsqu’elle entra dans l’appartement, 67 procéda au paiement en introduisant son code dans l’interface informatique de la demoiselle. Aussitôt, son accès s’élargit. Il pouvait désormais modifier certains paramètres physiques ou même interagir sur des humeurs ou des émotions. Il allongea un peu la chevelure blonde, gonfla la poitrine et les fesses, puis augmenta l’excitation de la femme. Elle recula pour se plaquer contre le mur en se débarrassant de son long manteau. Elle portait un corset en cuir avec des bas résilles. Son corset, qui descendait jusqu’au milieu des hanches, était muni de lanières qui pouvaient aussi se commander par son ordinateur interne. La forme des bonnets s’était adaptée automatiquement à l’augmentation mammaire. Comme le policier en avait aussi le contrôle, il desserra les lanières jusqu’à ce que le corset tombe à ses pieds chaussés de talons aiguilles.
    
    La prostituée se rua sur lui, embrassa ses pectoraux, lui caressa frénétiquement le ventre et le dos. Elle le caressa de plus en plus bas, jusqu’à peloter ses fesses d’une main et de lui masser délicatement le sexe de l’autre. Elle s’agenouilla devant lui et entreprit de gober à pleine bouche sa verge qui gonflait à vue d’œil mais une puissante main ...
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