Mon frère est incroyable (1)
Datte: 28/10/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Cassandro, Source: Xstory
... tu n’as pas bien saisi le projet. Cette histoire doit faire jouir le lecteur, mais pas n’importe lequel. Nous nous adressons au routinier des sites pornographiques, celui qui cherche des scénarios, qui n’arrive plus à bander seulement devant de belles images en mouvement. Nous voulons plaire à ce qui fait le gros du trafic des amateurs d’histoires. On veut de l’inceste, putain. Où il est l’inceste, là ! Et puis, on veut une trame, une histoire, des émotions, de la lubricité, des fantasmes les plus inavoués, du sexe sale, oui, mais en apothéose de préliminaires psychologiques. Le lecteur doit s’y croire, en vrai, dans la peau des personnages. Si on se restreint à la description des hommes et des femmes qui copulent, on n’a rien de plus que les sites pornos. Allez, penses-y et ponds-moi une meilleure histoire. Et améliore mon personnage ! Putain, il est d’un rasoir, dit Pascal.
— Tout de suite, maître Pascal, dit Elisabeth.
Elisabeth était une femme soumise à son frère, Pascal. Pascal était un homme macho, uniquement préoccupé par son plaisir. Il faisait d’Elisabeth sa traînée. Elisabeth n’avait pas à jouir. Seule la jouissance du mâle importait. Ainsi l’histoire d’Elisabeth devait faire bander. Bander. Le sexe mâle. Pascal n’était préoccupé que par sa bite. Il aimait l’inceste, oh ça oui. Il aimait sa sœur, enfin, le cul de sa sœur, son corps. Car s’il l’aimait pour elle, il se serait préoccupé de son plaisir. Pascal ne se préoccupait pas du plaisir de sa sœur. Il aimait ...
... la bite. Quand il faisait l’amour, il regardait son sexe entrer dans celui de sa sœur. Il jouissait sur sa vigueur sanguine. S’il aimait la chatte, le vagin, le trou du cul, la bouche, c’était, car, au fond, il y avait sa bite. La femme, il s’en battait littéralement les couilles. Pascal...
— Qu’est-ce que tu fais ? Tu prépares le terrain pour me sortir des conneries féministes ? dit Pascal.
— Oh, frère, vous savez bien qu’au fond de ma chatte, c’est vous qui écrivez l’histoire. Vous faites un bien piètre féministe, rétorqua Elisabeth.
— Viens par là que je t’encule, sale gouine, cracha Pascal au visage d’Elisabeth.
— Oh oui, crache-moi à la gueule, mon frère macho ! gémit Elisabeth.
— Non, mais tu as raison, je suis désolé. Je t’ai maltraitée. Mais tu sais bien que je fais ça, car tu aimes ça, concéda Pascal.
— Oh, tu sais, tu aimes ta bite et j’aime ma chatte. Tu n’as pas le monopole du plaisir de soi. Tu aimes les fellations, et j’aimerais les cunnilingus si tu t’y prenais autrement. Et je ne parle pas des mouvements de ta langue. Non, je parle de ton comportement, ta disposition. Tu me mets mal à l’aise. Avec toi, je n’arrive pas à me détendre, à me laisser aller. Le problème, c’est que tu penses tout pouvoir résoudre tout seul, mais le sexe, c’est à plusieurs. Il ne s’agit pas de te préoccuper de mon plaisir. Il s’agit de communiquer, de partager. Ce n’est pas donnant-donnant que je veux. C’est partageant. Je veux une fusion. J’en ai marre de ce jeu de ...