Mon frère est incroyable (1) - Histoires de Sexe

Mon frère est incroyable (1)

... subtilité, faites-moi du sale. Je veux que ça gicle, ordonna-t-il.

Bonjour madame, vous êtes belle, oh oui, avec vos seins aux tétons visibles sous votre décolleté que je viens de déchirer. On voit vos mathématiques, la règle fourrée dans la chatte. Vous arrachez vos collants, tout, ainsi en arrachant les collants remontant à la culotte, on voit votre vagin et votre trou de balle.

Je prends ma bite et l’insère dans votre cul puis vous sodomise. Ça claque. Vous êtes alors emplie de sperme à vous en gonfler le ventre. Vous êtes enceinte de spermes. Je vous lèche alors la chatte pour vous nettoyer et vous y enfonce ma langue. Je vous lèche tout le corps, bois le lait de vos seins et vous roule une pelle. Je vous prends, mon ventre plaqué sur votre dos, en levrette. Vous mettez un jean après cela. Je le déchire et vous déchire la chatte.

Viennent tes amies. Elles te voient me sucer la bite. L’une d’entre elles se ramène et participe. Toi et tes copines placez la tête à la renverse sur un canapé et je vous baise la bouche une à une.

Je suis un mathématicien, je me fais sucer et je suis dans une bibliothèque. Je fais tomber les livres. Je monte sur la table, je crie, je baise la demoiselle qui travaille à la bibliothèque, directement sur son bureau. Sa copine à côté me lèche les boules. Elles jouissent bruyamment. Rien à foutre, cosinus, sinus, tangente, trigonométrie et trique de ouf, je mets tout cela dans son cul.

Oh voyageur, profite de la prose poétique de mes ...

... couilles. Tu ne repartiras pas bredouille. Tu auras, dans ton ventre, le contenu de mes couilles. C’est à peu près par ces mots que j’accueillis ma concubine. Elle n’était pas concubine pour rien. Elle avait un con et un cul bien à elle, exceptionnels, qui valaient bien qu’on l’appelle con-cul-bine, si vous voyez ce que je veux dire. À bas les maux, sus aux glands, si le texte part en couilles, ne t’inquiète pas, c’est parfaitement normal. C’est un récit de boules.

Boules de Noël et pomme d’Api sur le beau tapis rouge ornent la pièce brillamment en cette nuit de seins. Le texte est surchargé, mais c’est normal. Bientôt, je vais décharger.

— Vos progrès sont fulgurants ! se réjouit Pascal.

— Oh, vous me faites jouir Pascal, je veux votre foutre dans ma bouche, supplia Elisabeth.

— Enfin, il y a encore du travail. Tenez, là, ce que vous venez de me dire, vous en faites beaucoup trop ! D’ailleurs, c’est l’impression générale que m’a laissé votre texte. Trop. Du sexe, il y en a à revendre, et l’histoire, c’est toujours n’importe quoi. Puis bon. Si vous voulez exciter quelqu’un, il vous faut trouver autre chose que juste déblatérer des mots cochons. Vous croyez vraiment que quelqu’un se branle sur cette histoire ?

— Oh oui Pascal ! Branlez-vous sur mon histoire ! Mais pas trop, le sexe est en solde, chuchota, mais pas trop, Elisabeth.

— Ça suffit. Incroyable ! Je m’en vais te dresser, tu vas voir ! Tu vas l’écrire mon histoire de cul. Je t’explique. Je crois que ...