1. Prologue


    Datte: 26/10/2021, Catégories: fh, hplusag, vacances, amour, vengeance, caresses, Oral pénétratio, Humour aventure, rencontre, Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe

    ... pas d’imaginer que j’allais rendre la monnaie de sa pièce à mon ex avec un inconnu. Bon, c’est vrai que je n’avais pas l’esprit très clair, mais… je ne le regrette pas… en tout cas, pour l’instant…
    
    Et pendant cette longue phrase, Mathilde continue à se rapprocher de moi, tendant ses doigts vers mon buste et y pose délicatement la main, promenant ses longs doigts fins dans la toison de ma poitrine, puis s’approche encore plus et vient souder ses lèvres aux miennes, clôturant ainsi ses remarques en m’embrassant fougueusement.
    
    Sous l’effet de la surprise, je n’ai que l’instinct de reculer, poussé par l’impulsion de Mathilde et je me retrouve assis sur le rebord de la grande baignoire. Mathilde ne lâche pas ma bouche et darde une langue fraîche, pointue et fouineuse, m’explorant avec délectation. Une main coinçant ma nuque, l’autre toujours sur ma poitrine, elle s’évertue à trouver mon téton qu’elle triture, rendant ma serviette totalement inutile en tant que cache-sexe… Et sans se décoller de mes lèvres, la main de Mathilde descend à la vitesse de l’éclair vers mon sexe, en semi-érection pour s’emparer de ma tige de chair et entame une vraie branlette.
    
    Reprenant son souffle, et moi le mien, Mathilde me complimente :
    
    — Hum… Dis donc, en plus t’es sacrément bien monté… Tu permets…
    
    Et avant que j’ouvre la bouche, celle de Mathilde s’empare de mon sexe.
    
    À petits coups de langue, avec une connaissance assez précise de la manière de faire, Mathilde avale ma ...
    ... queue. Ô mon dieu ! Quelle fraîcheur, quelle douceur… Quel plaisir de se retrouver pris entre un palais ensalivé et une langue douce et ferme. Et Mathilde me distille des longueurs qu’elle alterne avec de brusques sorties, usant de sa bouche, de ses lèvres comme d’un sexe. Elle accélère puis ralentit… Elle joue avec mon frein, au sens propre comme au sens figuré. Elle finit par réaliser une gorge profonde, m’avalant jusqu’à perdre son nez dans mes poils pubiens attendant avec une certaine patience que je m’épanche dans sa gorge… ce que je fais, non sans avoir lâché un immense râle de jouissance…
    
    Sans attendre, Mathilde entreprend de nettoyer les dégâts qu’elle vient sciemment de provoquer et tandis que je tente de reprendre mes esprits, elle recolle ses lèvres aux miennes et me souffle :
    
    — Tu vois, je sais montrer ma gratitude… Et je vois que tu as aimé !
    
    Mes jambes flageolent, mes mains cramponnées au rebord émaillé, j’ai le souffle court, encore sous le coup de cette jouissance inattendue et tellement « waouh ! » … Et comme elle est entrée dans la salle de bain, avec un petit rire de gorge, Mathilde ressort, presque légère, telle une sale gosse qui vient de faire un coup pendable à une copine…
    
    Il ne me reste plus qu’à crier à la cantonade :
    
    — Tu sais, tu ne perds rien pour attendre… Tu vas voir, tout à l’heure… Quand nous serons rentrés…
    
    Quelques minutes plus tard, nous embarquons dans un bateau-taxi pour un restaurant très chic de Venise dont on m’a vanté ...
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