Télétravail - Histoires de Sexe

Télétravail

... voulez, y compris l’éteindre et la faire redémarrer. Et en plus, j’ai la capture de sa caméra, retour avec celle-ci, et donc vous pourrez voir ce qui se passe et faire une téléconférence ou converser avec qui vous voudrez. Pas mal, non ?
— Euh… Oui, oui, bien sûr, super comme tout ce que vous faites, dit-il en détachant enfin ses yeux de l’entrecuisse.
— Eh ! On se rinçait l’œil à pas cher, fait-elle en prenant soudain conscience du spectacle qu’elle offrait involontairement. Et en plus, ça a l’air de vous plaire ! Mazette, c’est impressionnant…
— Je… je suis désolé, c’est indécent, je sais, mais plus… et moins…
— Ne vous excusez pas, c’est plutôt flatteur et puis… c’est plus sincère que des paroles. Voyez bien qu’il est temps que je prenne les choses en main…

Elle vient s’asseoir près de lui, à sa droite, passe le plat de la main sur l’indécence affichée, puis saisit l’élastique du bermuda pour le faire glisser jusqu’aux genoux. Le pénis dilaté suit un temps le nid de coton puis se libère d’un coup, venant frapper le ventre de Jérôme interdit. Il n’y croit pas. Son visage est à quelques centimètres du sien, ses yeux pétillent de malice, elle caresse doucement le Priape, en teste la rigidité, soupèse les testicules.

— Vous avez un sexe magnifique, Monsieur le Directeur. Je vais me régaler…

Elle se recule un peu et plonge sa bouche vers l’engin, goûtant, léchant, bisouillant avant de l’enfourner dans sa petite bouche en cœur. Jérôme prend une longue inspiration, ...

... renverse la tête en arrière et ferme les paupières. C’est fabuleusement délicieux, la meilleure chose qui lui soit arrivée après de longs jours de souffrance. Il redresse la tête pour contempler ce joli petit corps penché sur lui. Elle a ramené ses genoux sur la banquette et s’active, le cul dressé en l’air, tout en forme de cœur, tendant la jupe. Il y pose sa main droite et palpe cet orbe parfait, cherchant ensuite à passer sous le vêtement, mais sans succès. Alors elle se dresse d’un bond et quitte tout, sans pudeur.

— Et voilà, tu vois que ça n’a rien de réjouissant, mais c’est comme ça.
— Tu es magnifique.
— Tu parles ! Trop maigre, seins trop petits, cul trop gros, mais je n’ai pas mieux en magasin. Plains-toi à ma mère.
— Arrête, on dirait une petite porcelaine de Saxe.
— Une petite « porcinette de sexe » ? Ça m’arrive d’être un peu cochonne, comme en ce moment. Tu vois, la promotion canapé, finalement elles avaient raison ces salopes !

Elle reprend son ouvrage là où elle l’avait abandonné, laissant Jérôme s’emparer de sa vallée et de ses trésors. Le bougre explore le site dans ses moindres recoins, débusquant un clitoris qui ne demande qu’à frétiller, visitant des trous profonds et accueillants. Elle reprend son souffle en gémissant à plusieurs reprises puis se redresse et descend du siège.

— Attends, on va essayer comme ça, surtout tu me dis si je te fais mal…

Elle se positionne entre ses jambes écartées, pointe ses fesses vers lui et fléchit lentement. ...