Télétravail - Histoires de Sexe

Télétravail

... Il tient son pénis à la verticale, elle s’empale lentement dessus. Il grogne de plaisir lorsque son gland pénètre dans son antre, chaud comme de la lave en fusion.

— Ça va ?
— Hummm… Oh oui…
— Oh putain ! Je vais t’appeler « Inspecteur Harry » avec ton gros calibre. C’est gros, c’est long, c’est bon…

Elle s’agite de bas en haut avec toute la délicatesse possible, qui s’oublie progressivement avec la montée du plaisir. C’est Jérôme qui rend les armes le premier, annonçant sa reddition. Elle se retourne très vite et provoque l’orgasme de son patron dans sa bouche à grands coups de poignet et de langue.

— Oooohhh pu-tain ! Que c’est bon, mais que ça fait mal, dit Jérôme en se tenant les côtes.
— Désolée, j’aurais pas dû…
— Ah, mais si, trop bon. La douleur est vite passée, je n’y pense plus. Vivement que je sois guéri pour t’offrir une nuit de folie et te démonter dans tous les sens !
— Hum ! Voilà une promesse qui sonne encore mieux qu’une augmentation. Je vais boire un coup pour rincer. Il valait mieux faire comme ça, sinon on en aurait mis partout. Et puis je ne suis pas protégée, ce n’était pas prévu.

Elle va prendre une douche rapide, le traîne tant bien que mal à la salle de bains pour lui faire sa toilette, cuisine ce qu’elle trouve dans ses placards. Ils déjeunent ensemble « à la fortune du pot », puis elle se rhabille et part au boulot.

— Tu bosses aussi, toi. Tu as tout ce qu’il faut, maintenant. Je repasse ce soir.

Il consulte les messages en ...

... retard, les dossiers en instance, prend des notes, se fait un planning. Elle arrive vers dix-neuf heures, les bras chargés de sacs de victuailles. La petite tornade fait son tri et ses rangements, éliminant quelques produits périmés et classant à sa manière, laitages, protéines, légumes. Les fruits frais dans une coupe, les féculents dans un placard et le pain dans sa boîte.

— Je t’ai pris du Bordeaux, mon père disait que c’est un fortifiant.
— Je préfère le Bourgogne, mais tant pis.
— Tu te rattraperas quand tu iras mieux et que tu seras capable d’aller le choisir toi-même. Moi je n’en bois pas.
— Dommage, tu rates un truc.
— Pas sûr, mon cher papa est mort d’une cirrhose avec son fortifiant, avoue-t-elle amèrement. Je peux rester dîner avec toi ce soir ?
— Bien sûr, tu peux même rester dormir, si tu veux.
— Ah-ah ? Le monsieur espère encore une gâterie de la madame, peut-être ? Taratata ! User oui, abuser non. Je te rappelle qu’un certain Pixel attend sa pâtée et puis que j’ai toutes mes affaires chez moi, de toilette et vêtements. Donc je dîne, je te couche et je m’en vais.
— Tant pis. Il faudrait songer à un déménagement, ce serait plus pratique pour toi.
— Ah ouais ! Juste une petite vidange de couilles et la madame appartient au monsieur ! Ben voyons…
— Mais non, il ne s’agit pas d’annexer un pays conquis. Simplement j’en ai pour quarante jours plus rééducation. Plus de deux mois. Et toi tu vas courir du boulot à chez moi, de chez moi à chez toi, de chez toi ...