1. Mon petit café du matin part en délire total


    Datte: 25/10/2021, Catégories: ffh, inconnu, magasin, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme nopéné, confession, occasion, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... les yeux. Sur ce, la vendeuse demande si l’ensemble convient. Je lui réponds en me retournant et en entraînant Émilie pour qu’elle soit face au rideau.
    
    — Nous aimerions avoir votre avis.
    
    La vendeuse ouvre grand le rideau et à ma grande surprise elle a déboutonné son chemisier et lâché son chignon. Ses yeux brillants en disent long sur ses envies. Elle détaille Émilie de bas en haut. J’ai bien vu qu’elle s’est arrêtée un moment sur les longues jambes fines, pour remonter ensuite sur les seins généreux que je continue de caresser et d’exciter. Elle finit par tomber dans le sourire qu’Émilie lui offre. Je sais que la vendeuse a déjà succombé depuis un moment et l’invite à s’approcher de nous.
    
    — Venez donc ajuster la lingerie, s’il vous plaît, Madame.
    
    Elle s’avance comme envoûtée et aspirée. Je descends mes mains des seins vers le ventre d’Émilie en la caressant. La vendeuse vient ajuster le soutien-gorge et ainsi s’approcher des seins qu’elle effleure. Émilie est prise en sandwich entre la vendeuse et moi. Je la sens s’abandonner. Ses dernières défenses viennent de tomber. J’en profite pour déposer des petits baisers sur son cou si délicieux.
    
    — Tu es trop belle, ma séductrice.
    
    Émilie halète, colle son dos à mon torse ...
    ... et ses fesses à ma queue bandée. La vendeuse s’avance et vient déposer ses lèvres sur celles d’Émilie. Elles partent dans un magnifique baiser, tout en douceur et féminité. Mes mains continuent de descendre entre ses cuisses. Sa respiration est de plus en plus saccadée. La vendeuse vient prendre en bouche ses tétons tout en les caressant. Je ne tiens plus devant ce spectacle tellement beau et torride.
    
    — Elle est belle, ma chérie, n’est-ce pas ?
    
    J’entends la poignée de la porte, quelqu’un essaye d’entrer avec virulence. Le connard est de retour, mains autour de ses yeux pour éviter le contre-jour, visage collé contre la porte vitrée pour mieux nous mater.
    
    D’une main, je dégrafe mon jean qui tombe à terre. Je sors ma belle queue et ne peux m’empêcher de faire un autre doigt d’honneur au mec dehors. Finalement, je cherche à l’énerver autant qu’Émilie. Comme elle, je joue à un drôle de jeu.
    
    À ma grande surprise, la vendeuse tout en continuant d’embrasser Émilie, caresse ses tétons d’une main et attrape ma queue de l’autre. Cette gourmande de vendeuse me surprend.
    
    Nous voilà chacun partis dans une folie douce, emportés par la magie d’un enchaînement de situations qui nous échappent à tous. Tout n’est plus qu’envie et désirs. 
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