1. Les amazones


    Datte: 05/08/2018, Catégories: ff, hh, piscine, Collègues / Travail Oral hsodo, délire, Humour Auteur: Brodsky, Source: Revebebe

    ... qu’en ce moment, nous sommes juste des mots jetés sur du papier et qu’une jolie lectrice est en train de s’exciter en nous lisant…
    — Hum… C’est vrai que t’es totalement barge, par moments. Allez, remonte ta jupe…
    — Regarde : j’ai mis mon string noir fendu au milieu.
    — Hum… et tu as entièrement rasé ta chatte.
    — Viens me lécher, petite salope…
    — Avec plaisir, coach !
    
    Lilas s’agenouilla entre les cuisses musclées de son entraîneuse et commença à lui laper avidement son intimité dégoulinante de mouille. Elle passait consciencieusement sa langue bien à plat sur sa fente de bas en haut ; son visage fut bientôt trempé. Crinoline l’attrapa par les cheveux en poussant des gémissements, ténus d’abord, puis de plus en plus vibrants. Chaque fois que Lilas reprenait sa respiration, l’odeur à la fois douce et forte de sa partenaire s’imposait en elle, l’excitant de plus en plus. Puis sa langue se concentra sur le clitoris de plus en plus gonflé de sa partenaire… qui finit par se cabrer dans un violent soubresaut en hurlant comme une dingue. Elle s’effondra, vaincue par le plaisir, le regard empli de tendresse…
    
    — Putain, ma Lilas… Je ne sais pas comment tu fais ça ; je me demande bien qui t’a appris à lécher une femme comme ça, exactement là où ça titille, avec un rythme pareil.
    — Ça, coach, c’est un secret…
    
    « Mouais,pensa Lilas, prise d’une soudaine nostalgie,il vaut mieux que cela reste un secret. » Un secret qui ne devrait jamais être dévoilé, mais qui était bien ...
    ... lourd à porter et qui la faisait flipper un maximum. Un secret qui lui rappelait que même parfaitement au point, et même avec un adversaire très diminué, le danger resterait présent jusqu’à l’issue du combat. « Putain, Brodsky, murmura-t-elle en serrant les dents, tu n’es vraiment qu’un sale fils de pute ! »
    
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    Pendant ce temps, Bobby avait été emmené malgré ses protestations dans le bureau du maître-nageur pour un examen.
    
    — Je vous jure que je vais très bien désormais, se mit-il à geindre faiblement.
    — Ça, mon bonhomme, c’est à moi d’en décider.
    — Mais puisque je vous dis que ça va…
    — Bon, tu te calmes et tu fais ce que je dis, sinon j’appelle les pompiers ! s’énerva le maître-nageur en tirant le store.
    — Pour… pourquoi vous tirez le store ?
    — Pour que personne ne te voie à poil pendant que je t’examine.
    — Hein ?
    — Allez, pas d’histoire. Retire-moi ce maillot ridicule !
    — Mais… je vois pas le rapport. C’est pas parce que j’ai bu la tasse que…
    — À poil, j’ai dit, Monsieur Gros Connard ! Tu crois que je n’ai rien vu, ni rien entendu ?
    — Mais…
    — Tu veux que j’appelle les flics ?
    — Mais… pourquoi je dois retirer mon maillot ?
    — Tu as parfaitement compris pourquoi ; allez, tourne-toi ! Oui, comme ça… Oh, mais tu as beau petit cul bien musclé… On va voir s’il est assez accueillant.
    — Mais… vous êtes malade !
    — Je suis comme toi, mon bonhomme : je chasse. Tu as laissé partir ta proie, mais crois-moi, je ne laisse jamais partir les miennes. ...